Selon le rapport Signes vitaux, c’est presque la même proportion qu’en 1989, quand Ottawa s’est engagé à éliminer la pauvreté avant l’an 2000. Selon cet organisme, au rythme actuel de la lutte contre la pauvreté, il faudrait encore 43 ans pour réaliser cet objectif.
Le rapport montre que, parmi les 15 communautés étudiées, c’est à Toronto (28,8 %) et à Vancouver (24 %) qu’on trouvait les plus forts taux de pauvreté infantile. Les plus faibles étaient à Calgary en Alberta et à Oakville en Ontario.
Dans la grande région de Montréal, 22,1 % des enfants vivaient dans une famille à faible revenu. C’est une baisse de 11,6 % par rapport à 2000 (25 %). Toutefois, c’est 11 % de plus que la moyenne québécoise (19,9 %).
Dans les grandes villes canadiennes, le revenu des immigrants récents atteint à peine la moitié du revenu des familles qui ne sont pas issues de l'immigration.
Proportion du revenu des immigrants récents par rapport à celui des familles non immigrantes dans les trois principales villes : Vancouver: 49,2 %, Montréal: 49,9 %, Toronto: 50 %.
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