Célibataire
Cette semaine, chronique sur la grosse différence culturelle entre la France et le Québec en matière de relations hommes/femmes.
Et oui, on m’a fait remarquer que le meilleur moyen et pratiquement le seul pour se faire des amis québécois était par ami(e) interposé(e) et plus particulièrement par chum/blonde interposé(e), donc j’ai pensé aborder quelques particularités de l’approche à la québécoise…. (ça sonne définitivement chasse là, non?…. :s.)
Les Québécoises étant des nord-américaines, si si…. elles sont donc très féministes (voire très très ou même vraiment très très beaucoup). Résultat : les Québécois en ont soit peur, soit n’aiment pas trop ça, soit sont habitués à se faire un peu marché sur les pieds.
Pour ceux et celles que les options non-hétéro n’intéressent pas, voici des informations importantes au cas où vous les ignoriez :
On ne drague pas pareil au Québec qu’en France. (Les commentaires ci-après ne s’appliquent sans doute qu’aux Québécois descendants de français ou autres « nordiques », car il y a beaucoup d’immigrants et originaires de cultures latines et caraïbes, auxquels ils ne s’appliquent sans doute pas du tout….)
Il semblerait donc que dans le cas de nos charmants Québécois « anglo-saxonisés », ce ne sont pas, ici, les hommes qui draguent mais les femmes. Résultats : les hommes (surtout les méditerranéens à la technique lourdingue (désolée, je suis du nord de la Loire J)) risquent de passer pour trop machos.
Ici ce sont les femmes qui draguent. Alors nous, petites Européennes de formation, on peut avoir un problème d’adaptation.
Tout semble se passer dans le regard.
Les québécois ne draguent pas et ne font pas vraiment de grosses et lourdes remarques, mais ils regardent! Et le jeu est de rendre le regard en guise de feu vert. Et il est alors sensé prendre son courage à deux mains et vous adresser la parole (euh…. là…. vous marrez pas s’il a un fort accent…Hein…y’a ce truc très important chez un homme appelé égo, n’oubliez pas! 😉 oops…. pas pu m’en empêcher J).
Bonne nouvelle : les françaises partent avec un fort avantage sur toutes les autres pour charmer le beau canadien.
Tout ceci est évidemment plus facile à dire qu’à faire car, de part nos habitudes culturelles, nous sommes habituées à foudroyer de gros regards noirs tout mec qui nous scrute. Là, il faut apprendre à se débarrasser de cette mauvaise habitude (mais savoir la reprendre dès que l’on remet les pieds à Paris ou en Méditerranée si vous ne souhaitez pas la crise de nerfs! J)
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