Encore une fois, une autre étude confirme que le taux de diplomation des immigrants et plus importants que celui des gens nés au Canada.
En effet, selon les informations basées sur le dernier recensement canadien, les jeunes ayant immigré au Canada avant l’âge de 15 ans avaient un taux de diplomation aux niveaux secondaire et universitaire plus élevé que celui des enfants ayant des parents nés au pays.
Selon ces données, 40 % des immigrants âgés de 25 à 29 ans détenaient un diplôme universitaire en 2011, comparativement à 26 % des personnes de ce groupe d’âge ayant des parents nés au Canada.
La Colombie-Britannique (44 %) avait la proportion la plus élevée d’immigrants âgés de 25 à 29 ans titulaires d’un diplôme universitaire en 2011, suivie de l’Ontario (41 %). Au Québec, le taux de diplomation universitaire des immigrants était de 32 %.
L’article aurait été plus complet s’il disait aussi le taux de chomage chez les emigrants diplomés et chez les canadiens ou les québéquois.
Il y a une expression dans l’université de Montrèal parmis les emigrans. Il dit que quand une cohorte fini l’université tous les étudiants québéquois ont déjà trouvé un travail mais aucun des emigrants.
C’est juste une question de temps. Les enfants des immigrés finiront par s’imposer avec le temps. Il serait aussi important pour les immigrés de la première génération, voir même leurs enfants de penser investir dans la création des entreprises afin de constituer un potentiel d’employeurs et non seulement penser travailler comme des employés. L’homme dans sa nature a toujours peur de l’inconnu, ce qui pousse les employeurs québécois à privilégier les fils et filles québécois, même si dans certains cas la compétence n’est pas toujours au rendez-vous. Il ne s’agit pas d’une particularité québécoise. Finalement plus l’immigré va s’intégrer, plus la confiance va naitre, moins les barrières vont exister au niveau des recrutements.
Bonjour,
Je ne comprends pas trop cet article car pour immigrer au Canada, il faut un dossier très solide, un âge requis avec des limites. Pas étonnant que le niveau soit supérieur. Ainsi, le Canada est bénéficiaire car il a une immigration choisie à l’inverse de l’U.E.
Si dans les immigrés, vous abordez la question actuelle de la Syrie, là c’est un autre volet qui pose question : ils appartiennent à un pays éduqué et notablement plus civilisé que leurs voisins. Alors pourquoi, toute cette force vive, assez aisée, fuit au lieu de combattre ou de résister?