Le gouvernement canadien a annoncé ces derniers jours que de nouvelles règles s’appliqueront sous peu pour les travailleurs temporaires désirant venir travailler au pays.
En effet, ce programme offrira une voie rapide d’accès aux régions canadiennes ayant des taux de chômage plus faibles et également à ceux dont les métiers sont en demande.
Le ministre canadien de l’emploi, Jason Kenney, a annoncé que son gouvernement présentera en avril prochain la seconde version de ce programme. La première version avait été mal accueilli par de nombreux employeurs canadiens.
Ainsi le nouveau programme permettrait d’accélérer le mécanisme d’avis relatif à l’impact sur le marché du travail, le fameux AMT parfois si difficile à obtenir. C’est cet avis qui détermine si les fonctionnaires accordent ou non le permis à l’entreprise canadienne désirant employer des travailleurs de l’étranger.
Avec ce nouveau programme, le gouvernement ne compte pas donner le feu vert à des emplois faiblement rémunérés dans une région où le chômage est élevé.
Source : RCI, HuffingtonPost
Il était grand temps que le gouvernement Canadien bouge son CUL!!!!
Nous vivions une situation invraisemblable quoi!
On nous miroite des postes extraordinaires et vacants, et totalement, ceux-ci restent subordonnés a l’approbation d’une administration totalement ignorante de la réalité des problèmes rencontrés par les employeurs quant a trouver les ressources compétentes pour pourvoir ces postes.
Je trouve qu’il y’a un double langage des politiques sur cette immigration « d’appoint » qui doit impérativement bénéficier d’une réelle priorité.
Mieux encore, le gouvernement ne devrait percevoir aucun impôt ou taxe sur les travailleurs temporaires car ces emplois viennent conforter la concrétisation de certains projets, et d’autre part, ils représentent une banques de ressources sures et confirmées pour une immigration définitive.
Les confédérations patronales ne sont en reste, puisqu’elles doivent également bouger et jouer leur rôle de décideur économique car seul créateur de valeur, et donc de richesse et d’emploi, pour enfin, s’ imposer auprès des autorités concernées du gouvernement canadien a ouvrir un « Corridor des Compétences » pour l’accueil urgent et contrôlé des travailleurs temporaires.