Cet été, l’ex-ministre fédéral de l’Immigration, Sean Fraser, a suscité beaucoup d’enthousiasme parmi les nomades numériques au Canada en annonçant une stratégie visant à les attirer dans le pays. Deux mois après cette annonce très médiatisée, la situation est toujours la même, et de nombreux travailleurs à distance continuent de vivre dans une « zone grise » juridique au Canada.
Le nouveau programme, présenté en grande pompe lors de la conférence Collision à Toronto, a été décrit comme une initiative permettant aux personnes ayant un employeur étranger de travailler au Canada pendant six mois. S’ils recevaient une offre d’emploi pendant leur séjour, ils pourraient même rester et travailler plus longtemps au Canada ou encore transformer son statut en résidence permanente.
Cependant, à ce jour, le fameux visa de nomade numérique se fait toujours attendre selon les informations obtenues par le journal québécois Le Devoir. Beaucoup ont eu l’espoir d’obtenir un statut officiel au Canada et ont reporté leur demande de visa dans l’attente du nouveau visa de nomade numérique. L’incertitude persiste quant à la date de sa mise en place.
Le gouvernement canadien qui a un nouveau nouveau ministre de l’immigration depuis peu avait également annoncé son intention de consulter des partenaires des secteurs privé et public afin de déterminer s’il serait souhaitable d’adopter d’autres politiques pour attirer les nomades numériques au Canada. Pour l’instant, aucune consultation n’a été confirmée.
Claire Estagnasié, doctorante à l’UQAM (Université du Québec à Montréal) en communication et spécialiste du nomadisme numérique, a donné une entrevue au Devoir où elle estime que cette annonce « pourrait clarifier une zone grise, mais dans la pratique, ça ne change absolument rien ». En effet, la plupart des nomades numériques continuent de travailler sous un visa de visiteur, en dehors du cadre des lois canadiennes.
L’annonce ne mentionne pas non plus l’assurance maladie de ces voyageurs de longue durée, ni la taxation de ces travailleurs. Pour le moment, les nomades numériques ne paient des impôts que dans leur pays d’origine. Par exemple, un Américain qui réside au Canada ne paie ses taxes qu’aux États-Unis s’il ne reste pas plus de 6 mois de ce côté-ci de la frontière. De nombreux travailleurs utilisent cette pratique pour éviter d’être imposés au Canada.
Selon Claire Estagnasié, cette stratégie serait bénéfique pour les nomades numériques américains, car cela leur épargnerait des tracasseries administratives. Cependant, pour les autres, la situation resterait inchangée.
Cette annonce soulève également des questions sur le logement des nomades numériques, qui est déjà en pénurie dans des villes comme Montréal.
Le Canada cherche ainsi à rejoindre un nombre croissant de pays qui veulent attirer des travailleurs nomades numériques. Cependant, la mise en œuvre de cette stratégie nécessite une planification soignée et une exécution efficace pour répondre aux besoins réels de cette population en croissance.
Source: Le Devoir
Je suis auxilaire infimiere de nationalite Haitienne, j’ai 26 ans, resident en Republic Dominicaine, je voudrais immigrer au Canada et avoir un emploi.
Styliste modéliste, fashion designer j’ai 32 ans , camerounaise et y résident.j’aimerais trouver de l’emploi au Canada et y immigrer avec ma famille.
Je suis merline laure mewa, camerounaise âgée de 32 ans . styliste modéliste (fashion designer) j’aimerais bien trouver de l’emploi au Canada et y immigrer avec ma famille.
Bonsoir je suis intéressé au programme
Bonjour monsieur
J’espère que vous allez bien .je suis algérien,Je suis prêt à faire toutes les démarches nécessaires pour ce nouveau programme et je suis en mesure d’assumer l’entière responsabilité envers l’immigration au Québec
Bonjour,
je suis à Madagascar, j’aimerai en savoir plus sur le programme d’immigration s’il vous plait?
Merci
Bonjour monsieur, madame je suis intéressé a programme
Bonjour j’aimerais en savoir plus sur ce programme d’immigration
Je suis intéressé
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J’aimerais ce programme d’immigration j’apprécie beaucoup