Célèbres Québécoises
Ecrit par: pourquoi
Bonjour,
Dans le cadre d’un projet, je suis à la recherche d’une québécoise célèbre, dans le genre historique, médicale etc… ou/et pouvant symboliser la lutte des femmes. Je ne trouve pas grand chose dans google.
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Ecrit par: bluesy_montreal
Ca va peut etre faire rire certains mais celle qui m’impressionne c’est la Bolduc
( Mary Travers, la premiere auteur compositeur du québec)
Debut du siecle c’etait quelque chose !
www.labolduc.qc.ca/fhtm/f_frame.htm
C’est juste un début mais ca peut t’aider !
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Ecrit par: JayJay
Je sors de mon mutisme exceptionnellement, ce sujet m’étant très, très, très cher.
Ben y a Madeleine de Verchères qui s’est battue toute seule contre les Anglais qd elle était ado… c’est notre Jeanne d’Arc à nous!
Journalisme : Je suis très fan de Denise Bombardier (ex maîtresse d’un grand leader québécois…). Avant elle, la 1è journaliste québécoise était Judith Jasmin, fabuleuse (ex maîtresse d’un grand leader québécois, c’est dans les préalables faut croire! ).
En Droit international : Louise Arbour.
De ces temps-ci, on parle beaucoup de la contribution de Janette Bertrand. J’entends les Québécois s’esclaffer. Ben OUI, Janette Bertrand! C’est la première à nous avoir « éduquées », à nous avoir appris qu’on ne tombait pas enceinte en s’asseoyant sur un banc d’autobus. Elle nous a raconté sa vie avec une absence de pudeur qui m’ébahit. Elle nous a aidé à accepter la différence et à ne pas juger les gens qui ont un style de vie pas nécessairement orthodoxe.
En vrac, quelques noms (fais une recherche après sur Google) : Simonne Monet-Chartrand (épouse d’un grand syndicaliste, tiens, tiens… ça me fait penser à quelqu’une…), Lise Payette (première ministre de la Condition féminine sous Lévesque), Léa Roback, Françoise Gaudet-Smet, Idola St-Jean, Thérèse Casgrain, les femmes qui ont participé à la rédaction du « Refus global » (Madeleine Arbour, Marcelle Ferron et j’en oublie), Justine Lacoste-Beaubien (philantrope), Irma Levasseur (première femme médecin). J’en oublie tellement que j’en ai honte! Je ne sais pas qui je choisirais si je devais n’en choisir qu’une… rha la la… Julie Papineau, peut-être, la femme de Louis-Joseph qui voulait interdire aux femmes le droit de vote??? Ou peut-être quelqu’un de plus contemporain, comme Lise Payette.
Tiens, il se peut même que j’en fasse une chronique un de ces jours…
Si tu y as accès, il y a un livre fabuleux qui s’appelle « L’Histoire des femmes au Québec depuis quatre siècles » par le Collectif Clio (Micheline Dumont, Michèle Jean, Marie Lavigne, Jennifer Stoddart). J’ai la version originale mais je crois qu’il vient d’être ré-édité.
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Ecrit par: parati
Jeanne MANCE 1606- 1673
Lucille TEASDALE 1929- 1996(1° femme québécois à avoir son diplome de chirurgien)
Julie PAYETTE 1963- astronaute
Idola ST JEAN 1880-1945 militante féministe
….
Femmes canadiennes à l’honneur
www.collectionscanada.ca/femmes/inex-f.htm
fédération des femmes québécoises
www.ffq.qc.ca/presentation/index.html
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Ecrit par: pourquoi
Merci beaucoup,
Je viens d’aller faire des recherches dans google sur quelques noms mentionnés.
Lucille Teasdale et Jeanne Mance ont des parcours très attirants (même s’ils sont différents) pour ma recherche. Louise Bombardier est connue en France, Lucille teasdale aussi (je viens de découvrir qu’elle était québécoise, scusez….)
Quant à Madeleine de Verchères mentionnée par Jayjay, je viens de lire un article sur sa vie. Est-ce une légende ou un un événement historique réel ?
QUOTE
De ces temps-ci, on parle beaucoup de la contribution de Janette Bertrand. J’entends les Québécois s’esclaffer. Ben OUI, Janette Bertrand! C’est la première à nous avoir « éduquées », à nous avoir appris qu’on ne tombait pas enceinte en s’asseoyant sur un banc d’autobus. Elle nous a raconté sa vie avec une absence de pudeur qui m’ébahit
Tiens, c’est drôle ! J’ai entendu une entrevue de Janette Bertrand dans mon auto et j’avoue qu’elle m’a totalement « assise »! Je ne la connaissais pas et je ne sais pas pourquoi les Québécois vont s’esclaffer mais je l’ai trouvée extraordinaire d’humilité et de passion. Voilà, c’est ça que je recherche, des femmes de passion quelle qu’elle soit …
Merci Jayjay, Parati , j’ai du pain sur la planche !!!
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Ecrit par: Zogu
QUOTE: Louise Bombardier est connue en France
Moi je connais surtout Denise Bombardier
Mais en passant… je crois que dans ce genre d’exercice, on devrait éviter de porter notre dévolu sur les personnes encore vivantes. Faut pas oublier que jusqu’à son dernier soufle, le plus grand génie peut encore devenir un crétin. Et ça peut être gênant pour ceux qui l’ont encensé de son vivant.
C’est plus facile (et plus sûr) d’avoir une certaine objectivité quand on parle des personnes déjà mortes; bref, on a une meilleure perspective sur les gens qui ne nous sont pas contemporains.
Sur ce… n’oubliez pas de mentionner Jeanne Le Ber.
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Ecrit par: pourquoi
Désolée Zogu C’est que je connais une Louise Bombardier. Lapsus embettant!
Je pense que je vais aller creuser du côté du milieu du 17è siècle. Ca m’a l’air assez intéressant, et assez générateur de femmes de passion et ça me m’apprendra l’histoire de ce pays dans lequel j’ai choisi de vivre ave ma ptite famille.
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Ecrit par: peanut
En passant…Janette Bertrand a été nommée femme du siècle il y a quelques années!
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Ecrit par: JayJay
QUOTE
Quant à Madeleine de Verchères mentionnée par Jayjay, je viens de lire un article sur sa vie. Est-ce une légende ou un un événement historique réel ?
Je ne suis pas l’experte en histoire mais… Il y a bien eu une jeune fille dans les années 1600-machin qui s’est battue contre des Iroquois (pas des Anglais, scusez, je confondais avec Jeanne). Maintenant, ce fait a été gonflé en importance et est devenue légende, un peu comme Dollard-des-Ormeaux et son héroïsme surfait… Peut-être est-ce grâce à cette légende que la société matriarcale est parfois perçue (à tort?) comme une société matriarcale?
QUOTE
je crois que dans ce genre d’exercice, on devrait éviter de porter notre dévolu sur les personnes encore vivantes.
Ouais, surtout qu’on vient de m’instruire sur la « bourde » de Bombardier au Point j’sais plus quand, et sa sortie à l’émission de Giesbert concernant son licenciement suite à la dite bourde du Point… J’ai un peu la honte, là…
QUOTE
Je pense que je vais aller creuser du côté du milieu du 17è siècle.
Quant à moi, ce serait finalement Marie Guyart (ou Marie de l’Incarnation), qui n’est pas que le nom d’un édifice de l’administration provinciale à Québec!!! J’étais fascinée par elle, plus jeune. C’est elle qui écrit les premiers livres d’histoire du Québec. Elle est devenue veuve très jeune. Elle a élevé son fils puis, un jour, a tout laissé pour devenir missionnaire en France. Ses livres sont constitués surtout, il me semble, de sa correspondance avec son fils resté en France. J’en ai la chair de poule. Elle a été béatifiée il y a pas longtemps (« longtemps » étant une mesure approximative).
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Ecrit par: laurence 16-11 à 22:57
Bonjour,
J’ai participé à un recueil sur les femmes qui ont fait Montréal en 1994 :
« Ces femmes qui ont bati Montréal » aux éditions du Remue Ménage. Si tu as l’occasion de mettre la main sur ceci, tu auras pas mal d’inspiration :
www.editions-remuemenage.qc.ca/cons…
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Ecrit par: zohra-terry 17-11 à 4:06
Je suis entrain de lire Bonheur d’occasion de Gabrielle Roy, auteure québécoise d’adoption, et j’aime beaucoup la façon dont elle décrit la société québécoise pendant la deuxième guerre mondiale. C’est un exemple littéraire, je sais pas si ça colle à ton sujet.
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Ecrit par: JayJay 17-11 à 8:07
WOW, Laurence, je m’incline : je vais acheter ce livre dès que je remets les pieds à Montréal (ça se peut même que je tanne mon chauffeur pour que ce soit ce weekend!!!)
Zorah : Gabrielle Roy À lire absolument d’elle : « La détresse et l’enchantement ».
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Ecrit par: zohra-terry 17-11 à 8:22
j’en prends note jayjay!! je le lirai avec surement autant de plaisir que j’ai lu Bonheur d’occasion
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Ecrit par: pourquoi 17-11 à 10:41
Aïe Aïe Aïe, ça y est je suis complètement mordue
D’abord parceque ne connaissant rien à l’histoire du Québec, j’ai ouvert une boite, dans laquelle il y avait une autre boite, puis une autre…
Je vais commencer par essayer de comprendre ma première boite : pourquoi des femmes ont quitté la France pour le Nouveau Monde ? Etait-ce « juste » un missionariat ? Le désir de découvertes et de bâtir un monde différent ? J’ai lu beaucoup de choses sur des femmes mystiques, missionnaires, conquérantes, peu sur des femmes novatrices.
Venant d’un pays où la laïcité est omniprésente, le concept même de la conquête religieuse nous est contée comme un génocide. Donc, très dur pour moi de comprendre le début de l’histoire. Je vais m’atteler à ça dès aujourd’hui.
Le plus comique, c’est que j’ai du boulot par dessus la tête (ce projet est un projet personnel auquel je tiens beaucoup), mais que l’histoire de ces femmes m’intéresse énormément.
J’ai parcouru hier à la bibliothèque un livre superbe sur la condition féminine de 1860 à 1961. C’est un livre rempli de photos et commentaires de Lucie Desrochers, ça s’appelle « Oeuvres de Femmes ». Et là au détour des pages, on apprend la condition féminine de l’époque et le combat acharné que les femmes ont dû livrer pour tout simplement s’instruire.
Laurence, je viens de regarder sur le site de la Bibliothèque de Montréal, le livre dont tu parles est disponible dans toutes les biblios de Montréal sauf celle du Plateau, Jayjay, es tu passée par là encore une fois
En tout cas, chapeau bas les Québécoises, vous vous êtes émancipées d’une manière remarquable.
Bon ben je vais aller bosser
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Ecrit par: JayJay
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Venant d’un pays où la laïcité est omniprésente, le concept même de la conquête religieuse nous est contée comme un génocide.
Normal. Du moment que la France est devenue républicaine, elle a complètement occulté son histoire passée. Tous les messages qui vous sont transmis, par le biais de l’éducation, des médias, des institutions, etc., vous poussent à hurler au fascisme dès qu’on parle de croyances religieuses (surtout quand elles sont de confession catholique). C’est comme si le passé royaliste et religieux de la France n’avait jamais existé. Cependant, son rapport envers la laïcité est vraiment bizarre; tous ces jours fériés, d’abord (OK, je suis jalouse ), les interdictions de porter certains morceaux de vêtements sur certains endroits du corps… et là maintenant, on parle de financer la construction des mosquées. Il n’y a aucune cohérence. Je me souviens du scandale lorsque les Français avaient entendu des Américains dire « God bless America », après le 11 septembre. Déjà, on criait à l’intégrisme religieux. Pourtant, même si les US sont plutôt « fervents », il ne s’agit que d’une formule. Il ne faut pas y voir une déclaration de guerre. Du moins, pas à ce moment. Dans un pays qui a « inventé » la liberté d’expression, certains mots sont devenus tabous : « famille »… « foi »… Tout de suite, nous voilà étiquetés : FN, catho-facho, réac, etc. Je ne suis pas particulièrement croyante, mais je crois profondément aux libertés religieuses, et j’avoue que j’ai souvent déploré cette courte vue qui empêche véritablement de comprendre l’Histoire et la Société (lire « les histoires » et « les sociétés »). Enfin. C’est mon opinion.
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Ecrit par: Zogu
Puisqu’on parle de littérature, permettez-moi de proposer trois auteures québécoises de poésie, qui ont chacune marqué leur époque. Évidemment je ne nommerai pas des auteures importantes mais encore vivantes, telles Denise Desautels ou Nicole Brossard.
– Rina Lasnier (1915-1997)
Son oeuvre est un condensé de l’histoire moderne du Québec. Elle commence sa vie littéraire en écrivant des textes à thème religieux, par exemple « La modestie chrétienne » et « Féérie indienne : Kateri Tekakwitha ». Mais le Québec change et en 1956, elle écrit le premier recueil de poésie résolument moderne au Québec: « Présence de l’absence » (elle a quand même été précédée par les textes de voyage d’Alain Grandbois, mais ne digressons pas). Dans les années 1970, la place de la Femme devient prépondérante avec « Femme plurielle », qui ne tombe tout de même pas dans le féminisme militant. Dans les années 80, elle touche au déconstructivisme avec « L’ombre jetée » et d’autres oeuvres post-modernes.
« Laisse le nénuphar au lac, laisse le poète à sa solitude;
le nénuphar n’a pas dédaigné le pré ou le jardin, le poète n’a pas choisi de chanter;
même s’ils baignent dans l’eau pure de la beauté, ils restent mêlés à la boue de la terre par toutes leurs racines… »
– Marie Uguay (1955-1981)
Elle n’a publié que deux livres avant d’être emportée par un cancer. Et pourtant, elle est l’une de nos auteures les plus célébrées; une bibliothèque municipale à Montréal porte même son nom! Nous possédons de nombreux documents audio-visuels à son sujet: l’enregistrement de la célèbre « Nuit de la poésie » de 1980 et juste avant sa mort, des entretiens avec Jean Royer. Ses textes sont sombres, avec un pressentiment de la mort à venir.
« il y a ce désert acharnement de couleurs
et puis l’incommode magnifience des désirs
il faut se restreindre à dormir à attendre à dormir encore
j’ai fermé la fenêtre et rentré les chaises »
– Geneviève Desrosiers (1970-1996)
La plus jeune et la plus morte de nos auteures. Publié à titre posthume, par des amis, son recueil n’a pas eu une diffusion énorme mais laisse déjà sa marque. Une légende se construit autour de cette auteure et de ses écrits, voire de sa vie. De qui ou de quoi est-elle morte? Mystère. Écrivait-elle vraiment pour être publiée? Mystère. Quoi qu’il en soit, sa correspondance abondante et touffue avec Gilles Marcotte, critique littéraire célèbre, laisse songeur. Pourquoi une artiste aussi bourrée de talent est-elle tombée dans le cynisme, l’autodérision, voire l’auto-destruction? Mystère encore. Ses textes, une trentaine en tout, sont de petits bijoux d’inventivité avec une prose tortueuse et toujours amusante.
« Elle a construit mille et un navires qu’elle a déposés sur vos rives
Sans songer un seul instant que l’on pouvait calculer les eaux
Le ciel l’a abandonnée sur une valise à moitié vide de petits soucis
Allez savoir pourquoi, je vous récompenserais
Je vous récompenserais. »
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Ecrit par: bluesy_montreal
Pourquoi,
Voila je te conseille le merveilleux livre de Arlette Cousture » Les Filles de
Caleb »…ca te donnera une vision peut etre differente…
Jay-Jay aurait-elle aimé etre Emilie Bordeleau ?
Jay-Jay: en France nous sommes tous des enfants de la révolution Francaise…
Il faut vivre avec ca ! C’est notre passé…
Au moins la laicité a permis a la France d’arreter les guerres de religion
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Ecrit par: Zogu
Zut! Super-zut!
Dans les auteures québécoises célèbres, j’ai oublié LA plus vénérable auteure québécoise, ils s’agit d’ ANNE HÉBERT (1916-2000).
Romancière et poète, elle a laissé une marque durable dans notre littérature.
Oeuvres choisies:
– « Le tombeau des rois » (1953), poésie
– « Kamouraska » (1970), roman
– « Les fous de bassan » (1983), roman
Avec Rina Lasnier, elle est notre pionnière de la poésie moderne au Québec.
Plusieurs essais et biographies ont été écrites à son sujet. Ses textes ont été traduits en anglais par Frank Scott, qui a co-écrit avec elle un livre intitulé « Dialogue sur la traduction » (1970)… un livre fascinant et une étude des rapports littéraires/amicaux entre l’auteure et son traducteur.
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Ecrit par: scanlolo
Salut la gang
C’est sympa de te voir sur un fil JayJay ?
C’est vrai que le bouquin d’Arlette Cousture est très sympa à lire et l’adaptation TV etait correcte (avec Marina Orsini . Elle à aussi écrit une trilogie « Les enfants d’ailleurs » sur l’émigration des polonais après la second guerre mondiale) et on peut y voir une belle chronique sur le Québec des années 50-60.
J’avoue avoir un faible pour Denise Bombardier qui a une « grande gueule » comme ont dit en France.
Concernant les Québecoises célebres il faut te pencher sur l’histoire de la nouvelle France pour avoir des exemples
ps : JayJay tu serais très bien en Emilie Bordeleau et je suis tout à fait d’accord avec ce que tu décris sur certaines notions taboues en France
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Ecrit par: JayJay
QUOTE: JayJay tu serais très bien en Emilie Bordeleau
La crise de rire du jour! Ah non, pas Émilie Bordeleau, pas pantoute. C’est pas mon genre de me morfondre pour un irresponsable, peu importe si Ovila a la face de Roy Dupuis! Cela dit, le livre a un certain intérêt historique. Un peu gnangnan mais pas trop non plus.
Non, moi je m’identifie surtout à un mec. « Édouard », des « Nouvelles d’Édouard » de Michel Tremblay, celui qui s’embarque sur un paquebot pour aller visiter les « Uropes ». Qu’est-ce qu’il m’a fait rigoler, cet Édouard un peu maladroit.
À part ça, je ferai ma mauvaise tête, mais moi, Anne Hébert, pas capable. Je suis quand même à la recherche d’une thèse à son sujet car j’ai bien aimé le film qu’a fait Jutra de son livre (Kamouraska). Mais elle, je la trouve sinistre, beurk. Désolated.
Côté littérature plus « contemporaine » (on est sortis de l’histoire un peu), je conseille Monique Proulx. Je ne l’ai pas lu, mais Foglia avait été dithyrambique à l’égard de son livre « Homme invisible à la fenêtre » et il est noté dans mon Palm (elle est aussi connue pour les « Aurores montréales »).
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