Selon une étude de Deloitte France, le Canada serait le pays le plus attractif pour l’expatriation pour 37% des jeunes diplômés français.
En effet, l’étude confirme que les jeunes diplômés français rêvent de l’étranger et en grand nombre du Canada. Plus d’un jeune diplômé sur quatre en France envisage son avenir professionnel à l’étranger (27%). Et c’est le Canada qui remporte la palme de l’attraction car 37 % des jeunes français s’y voient pour l’expatriation, alors que les États-Unis suscitent 32 % d’attention, le Royaume-Uni 26% et l’Australie 18%.
Et les trois premières motivations des jeunes diplômés français pour l’expatriation sont de travailler dans un environnement culturel différent, de travailler dans un milieu professionnel plus positif, et d’apprendre ou de progresser dans la maîtrise d’une langue étrangère.
Et lorsqu’ils envisagent l’expatriation, les jeunes diplômés français souhaitent une durée de séjour à l’étranger de 1 à 5 ans dans une proportion de 44%.
Réalisée en partenariat avec l’IFOP, la 3e édition du baromètre de l’humeur des jeunes diplômés analyse le rapport complexe qu’entretiennent ces derniers avec le marché de l’emploi.
Le Canada est attractif pour les jeunes diplômés français. Par ce biais, ce pays compense un manque de cerveaux, un retard dans le développement et organise une immigration choisie, immigration de ce style interdite pour la France.
La France vit actuellement un paradoxe. Elle forme sa jeunesse, même si apparemment elle ne fait pas l’effort pour que les diplômes soient reconnus mondialement, mais en même temps, à force de niveler par le bas notamment dans les quartiers dits ‘populaires’ euphémisme révélateur de la période dans laquelle nous vivons ici en France, elle laisse partir ce vivier qui lui a coûté cher, très cher. Chaque contribuable est sollicité.
Enfin, le Canada est très attractif jusqu’à une certaine limite car quelqu’un qui n’est pas économiquement intéressant, même sans casier judiciaire, n’est pas le bien venu même si c’est le fameux cousin français.
Alors oui, tant mieux pour le Canada mais tout cela est à sens unique et ne durera qu’un temps.
Je souhaite que mon pays et l’U.E. se relève de cette crise pour être au même niveau que ce pays qui comme les Etats-Unis, vivent bien grâce à notre main d’œuvre qualifiée, qui apporte aussi du point de vue de l’art de vivre un renouveau.