Le gouvernement du Québec introduit des règles plus strictes pour les nouveaux arrivants concernant la conduite automobile, après avoir constaté un taux d’accidents plus élevé chez ces conducteurs par rapport à la moyenne de la population.
Jusqu’à présent, les immigrants en provenance de pays dont les permis de conduire ne sont pas reconnus au Québec bénéficiaient d’une période de tolérance de six mois pour circuler sur les routes. En cas d’échec à leur examen pratique, ils pouvaient tout de même continuer à conduire jusqu’à la fin de cette période.
Un nouveau projet de règlement mettra fin à cette disposition. Désormais, après un échec à l’examen pratique, les conducteurs devront obtenir un permis d’apprenti conducteur. Ce permis exige qu’ils soient accompagnés par un moniteur d’école de conduite ou par un conducteur détenant un permis valide de classe 5 depuis au moins deux ans.
Cette mesure, qui vise à garantir la sécurité sur les routes, entrera en vigueur au début de 2025 après une période de consultation réglementaire de 45 jours.
Avec l’augmentation du nombre de demandeurs d’asile et de nouveaux arrivants, le nombre de requêtes de reconnaissance de permis étrangers a explosé, passant de 49 919 en 2022 à 85 320 en 2023, avec une prévision de 120 000 demandes en 2024.
Cependant, selon les données de la Société de l’assurance automobile du Québec (SAAQ), les conducteurs provenant de pays sans entente de réciprocité présentent une fréquence d’accidents de 7,5 pour 1000 titulaires de permis, contre 2,79 pour les détenteurs de permis québécois.
De plus, les évaluateurs notent des lacunes importantes lors des examens pratiques : 49 % des nouveaux arrivants ne font pas leurs angles morts.
André Koné, propriétaire de l’École de conduite du Québec, souligne les difficultés rencontrées par certains immigrants. Dans plusieurs pays, la voiture est considérée comme un luxe, ce qui limite leur expérience de conduite.
« Ils arrivent ici avec des connaissances qui sont loin d’être à jour », explique-t-il. Cette inéxpérience les pousse à rouler à des vitesses anormalement basses ou à être mal à l’aise dans les conditions hivernales, bien différentes des climats tropicaux de certains pays d’origine.
Le gouvernement envisage également de réduire la durée de la tolérance de six mois et pourrait rendre obligatoire un cours de conduite dans une école québécoise pour certains nouveaux arrivants.
Source : Journal de Québec
Je suis au Tchad je travaille avec sotel Tchad
Je suis chauffeur Mécanicien avec mon permis de conduire
Ce que je note aussi, c’est l’état des voitures achetées par la plupart des nouveaux arrivants ayant peu ou pas les moyens d’avoir un véhicule. Ayant été mécanicien auto pendant longtemps la mauvaise condition de ces voitures me saute aux yeux. Il serait urgent d’instaurer un contrôle technique sérieux.
Pour la petite histoire, un de mes voisins venu d’Afrique avait perdu le contrôle de sa voiture en plein hiver, dans un blizzard notable. Il avait fait trois tonneaux et il y a eu des blessures. L’auto a été détruite. Suite à mes questions, il m’avait affirmé qu’il ne comprenait pas se qui c’était passé car il avait respecté les limites de vitesses, soit 100 Km/h….
Bonjour, le Canada je serai d’etre ravi de joie pour nous aider à Réussir notre installation chez vous au Canada Québec avec ma familles
Cher monsieur Cher Madame J’ai. C’est un grand plaisir d’être parmi vous pour , je suis mécanicien d’entretien polyvalent de tracteur agricole moyen et petit machine de jardinage automobile excavateur jcb merlo télescopique et machine à tondeuse automatique et chace neige. Faire les la réparation et l’entretien les voitures comme Ford jeep chrisler ram Toyota lexus 4cylendre 6 et 8 , j’ai plusieurs années l’expérience sur le terrain en pratique , je vais travailler avec une équipe