7 mois à Montréal et l’envie de rentrer
Ecrit par : hung up 4-12 à 16:08
bonjour a tous, oui oui tout est dans le titre. envie de partir, je suis venue ici pour changer de vie, aller de l« avant mais en fait ce que j`ai fait c`est plutot reculer, je voulais evoluer mais je ne fait que regresser
cote boulot cela a commence par un poste que j`ai choisi et aime mais voila que j`assiste a une chose que me l`a fait detester, je ne parle pas de mes heures de travail qui sont passes de 37 a 42 heures lors de stage npn remunere, a 17 heures apres l`embauche sous pretexte que l`on ne pouvais pas me payer plus d`heures de travail (j`ai toujours cru que trompe et mentir n`exister pas de ce cote, mon c…), mai du fait que le proprio pharmacien n`ayant paas le medicament prescrit a un petit enfant qui plus est un antibiotique 9au fait association de deux antibiotiques en solution) donna un seulement mais colla dessus une etiquette portant les deux produits, trompe un enfant d`une part qui en plus souffre d`une terrible otite.
cet act auquel j`ai assiste m`a degoute, je n`ai rien dit en plus tellement je ne m`attendais pas a cela. l`argent c`est le seul interet de ce con diplome en pharmacie.
la vie est la meme partout, les gens sont les memees partout, ma vie etait meilleure avec les miens, je prepare ces jours ci ll`anniversaire de mon petit et je n`arrte pas de me dire èst ce qui m`a pris de faire ce choix. je fais vivre a mon fils la pauvrete alors que notre vie etait aise, nous sommes seuls alors que nous etions aimes et bien entoures, si seulement je pouvais tout recommencer.
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Ecrit par : jeff3d 4-12 à 17:46
Bienvenue dans le monde reel…
Sans critiquer t’es tu bien preparé et informé avant de venir ici ?
C’est pas disnleyland comme partout ailleurs en effet, et si tout te manque seulement 7 mois apres etre arrivé peut etre que tu n’a pas fait le bon choix.
Anyway prend le de facon positive car cela te fait une bonne experience, et tout le monde n’est pas comme ton crosseur d’employeur (encore heureux), so voit a en changer ca te donnera d’autres perspectives.
PS: « (j`ai toujours cru que trompe et mentir n`exister pas de ce cote, » faut pas etre naif a ce point la non plus, des crosseurs comme ailleurs ca ne manque pas non plus ici, le bipede humain est partout pareil hein
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Ecrit par : zohra 4-12 à 17:57
salut,
je comprends que tu sois déçu de cette job,mais qu’est-ce qui t’empêches d’en changer? tu peux très bien postuler ailleurs et partir….si ce n’est que cet aspect qui te fait dire que tu veux rentrer chez toi…je pense que tes propos sont un peu démesurés…maintenant s’il s’agit de toute ta vie ici,alors peut-être que tu devrais prendre un peu de recul,peser le pour et le contre,et surtout te donner le temps d’apprécier ta vie à montréal,avant de prendre une quelconque décision.
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Ecrit par : fortsympa 4-12 à 19:04
Je te conseille de changer d’employeur, comme tu dis des c… il y en a partout
oui, immigrer, c’est dur, c’est l’aventure, on se retrouve a l’aeroport avec une certaine somme d’argent et un toit pour dormir et apres faut se debrouiller, mais si on le fait c’est pour un mode de vie different que celui qu’on avait dans notre pays … et il nous correspond mieux
ne t’arrete pas a cette experience, ca ne resume pas le quebec, tu aurais pu vivre la meme chose ailleur, tu es venue ici avec des envies, des ideaux, realise-les et ne t’arrete pas en si bon chemin.
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Ecrit par : Biztalk 4-12 à 19:24
Mon très cher Hung Up (décidément, tu ne porte pas bien ton nom… )
On dit qu’en moyenne, l’immigrant met 1 à 3 ans pour atteindre / dépasser le status qu’il avait dans son pays. Pour te donner un exemple, des amis de l’ile maurice sont arrivées ici, dans un petit 2 et demi crotté et puant du quartier Cote-Des-Neiges. Jobine de merde après jobine de merde, on leur disaient tout le temps qu’ils n’étaient pas assez qualifier. Puis, ils ont fini par se trouver quelque chose d’intéressant. Mon chum est rendu chez CGI : une sorte de Vatican de l’informatique (1 informaticien sur 2, ou presque au Quebec travaille là…) et on lui a même offert une formation payé de 10K$ chez Sun Microsystem.
Ils sont maintenant dans un quartier plus jolie. On placé leur petit dans un CPE et sont payés convenablement. Tout ca aura mis 1 an et demi.
Alors bon courage!
Biztalk.
P.S.: En tant que pure-laine, j’aimerais bien qu’on me dise que vous venez ici pour autre chose que « faire du cash ». Tu sais, la qualité de vie, valeurs sociales, cultures etc.
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Ecrit par : dodi72 4-12 à 20:31
Fortsympa, je suis d’ACCORD AVEC TOI, ecoute mon ami tu ne peux pas juger le quebec au bout de 7mois, c’est vrai que tu travailles avec un c…. , mais en algerie il y a aussi des c…., alors change de travail et tu trouveras ton bonheur.
personnellement ca m a fallu 4 ans avant je commence a aprecier ce pays a sa juste valeur alors fait des projets et fait tous pour les realiser et inchallah tu vas reussir.
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Ecrit par : hung up 4-12 à 21:52
je ne suis pas venu ici pour faire du cash car je te signale que le cash se fait plutot chez moi, mais je ne suis pas venu non plus ici pour vivre la pauvrete la misere meme, ce n`est pas que je ne veux pas travailler mais juste que partout les memes reponses laissez cv etc etc ….
pas de jugemnet stp car si jugement tu veux je te dirais je ne vois ni la qualite de vie ni valeurs sociales ni cultures puisque je n`ai aucun amis quebecois pour en savoir plus, peur etre le facies……..
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Ecrit par : fleur_delys15 4-12 à 22:37
Je suis désolée de ce qui se passe pour toi. Tu dois parcontre savoir que ca ne se passe pas de cette facon partout. Je pratique le meme métier que toi et j ai deja eut comme patron des pharmaciens qui engagaient a leur frais des infirmieres et plus de personnel que nécessaire afin de donner un bon service. J ai deja vu ce patron faire revenir le livreur afin qu il reconduise une patiente chez elle car apres avoir pris sa pression il la trouvait trop haute et qu elle ne voulait pas se rendre a l hopital car un rendez vous le lendemain chez son doc. Ce meme patron a deja été faire une petite épicerie pour une patiente qui était dans la misere et n arrivait pas a finir le mois. Soit ce n est pas le lot de tout le monde et des connards il y en a partout, peu importe le métier et peu importe le pays. Je ne sais pas si tu en tiendras compte mais si j étais dans ta situation, je ferais une plainte a l ordre des pharmaciens, car un acte comme celui la se doit d etre dénoncé. On ne peut pas laisser faire ca, si ce supposé professionel peut faire ca imagine de quoi il est capable. Il s agit de protéger le public. Ils ont un code d éthique alors on doit le faire appliquer
Pour ce qui est de tes heures de travail, il doit te payer sinon ne les travaille pas. S il n est pas capable de te payer, il les travaillera ces heures la. Le bénévolat c est bien mais pas pour remplir les poches d un autres a la place des tiennes . Il y a de bonnes causes pour le bénévolat sans en plus enrichir les pleins a notre détriment. Bonne chance pour la suite
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Ecrit par : Biztalk 4-12 à 23:12
J’ai relu ton message et je dois avouer que mon commentaire était déplacé.
Mes amis Mauriciens se sont eux aussi fait prendre dans le panneau des « stages » non rémunérés, et ils se sont fait avoir à tous les coups. Faudrait vraiment mettre en garder les nouveaux arrivants contre ce genre d’abus.
Sinon, comme j’ai dit, immigrer, c’est difficile : ca prend un certain temps avant de se fixer. Certains arrivent ici, et c’est le paradis dès les premiers jours. Pourtant, d’autres, avec un profil identique, vont vivre la galère. Tout est circonstence de temps et de lieux.
Moi, je te dirais d’attendre encore 1 an avant de faire ton choix. Apres tout, tu as surement investie beaucoup d’argent pour venir ici, ca serait dommage de tout gacher maintenant.
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Ecrit par : nils 5-12 à 4:53
Moi je viens ici pour voir mes 4 nains grandir, ce que je n’ai pas pu faire depuis 11 ans que la première a vu le jour… eh oui être chef d’entreprise en France c’est tellement bon ! Et en plus je commence avec ue job 2 fois moins payée que ce que je gagnais en France, mais au moins à 17heures je verrai mes oursons et ma blonde…
Et nous voulons tout simplement que nos enfants s’épanouissent dans leur quotidien, celui que nous leur construisons, avec ce que le pays dans lequel nous nous rendons peut nous offrir, mais l’épanouissement personnel, familial, etc. ne se fait pas qu’avec du cash !
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Ecrit par : yidir 5-12 à 5:13
Je suis trés désolé de ce qui t’arrive, mais dans la vie il faut faire des choix, on ne peut trouver tout en même temps.Il n y a pas d’endroit idéal, comme il n ya pas de peuple idéal non plus, c’est le fait d’idéaliser le canada qu’on se retrouve dans la déception.
par contre là, je ne suis pas d’accord! tu te rends complice en ne le dénonçant pas,ou en n’essayant pas de l’empêcher ou d’avertir ses parents même discrêtement, il s’agit de la vie d’un enfant! tu te rends compte?
il fallait écouter une chanson « d’Elhasnoui » l’éternel exilé, « ya noudjoum ellil » qui chantait sur la vie difficile des immigrants loin de leurs proches, ou bien celle de Dahman el harrachi, « ya errayeh » la même chose en fait.Mais maintenant je te propose d’écouter une chanson d’Edith piaf » Oh rien de rien, oh je ne regrette rien.. ».
Ce que je te conseille en tant que compatriote, c’est de ne pas faire l’erreur de faire marche arrière, essaye plutôt de résister un peu, l’adaptation ça viendra petit à petit et essaye de t’intégrer dans cette société et de faire l’éffort d’aller vers les gens.
Joyeuse anniversaire pour votre fils.
Bon courage et bonne continuation.
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Ecrit par : Jas06 5-12 à 5:27
Il y a eu bcp de naïveté et d’utopie, semble-t-il ds ton désir d’immigrer. Aujourd’hui, tu t’aperçois que la réalité est dure partout. Il faut voir quelles sont les motivations réalistes qui te pousseraient à rester.
Pour cette expérience pourrie de travail, si ça t’était arrivé ds ton pays, tu aurais été fâché et c’est tout. Le pb, et je le comprends crois-moi, c’est que tu n’es pas chez toi et le choc culturel embarque pa-dessus et fausse la donne.
Après 7 mois, dur dur de faire la part des choses.
Essaie d’écrire tes motivations premières, essaie de comprendre lesquelles étaient du rêve pur et lesquelles sont réalisables au Québec. Compare ensuite avec ton pays d’origine, avec en bout de ligne l’avenir que tu veux pour toi et ta famille.
Ce n’est pas un échec que de vouloir rentrer chez soi… Parfois il faut rentrer pour vraiment repartir avec la tête non plein d’idéal, mais un véritable projet. Et parfois, on revient et nos frustrations qui nous ont fait partir ont disparues!
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Ecrit par : dracula 5-12 à 6:03
Ce n’est pas un échec que de vouloir rentrer chez soi… Parfois il faut rentrer pour vraiment repartir avec la tête non plein d’idéal, mais un véritable projet. Et parfois, on revient et nos frustrations qui nous ont fait partir ont disparues[quote]
voila une bonne reflexion
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Ecrit par : jrmd99 5-12 à 10:18
C’est quoi 7 mois dans une vie ?
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Ecrit par : hung up 5-12 à 11:29
bonjour a tous et merci a tous ceux qui m`ont ecris, mon projet d`immigration je l`ai bien prepare surtout que cela c`est fait en six ans, donc j`avais tout le temps de voir et de revoir ma nouvelle vie. je savais que j`allais devoir trimer que cela aller etre difficile, je suis tres positive avec toujours les pieds sur terre. l`eldorado canadien je n`y ai jamais cru, le cash non plus mais un minimum quand meme pour vivre et faire vivre les siens dignement c`est necessaire. il y a des moments comme ca ou une vague peut vous aider a sortir la tete de l`eau et d`autres vagues qui vont pousseent vers le fond, je sais qu`on arrive toujours a s« en sortir surtout si l`on croit fort en soi, mais passer par ce que j`en dure ces temps si est tres difficile, je travaille beaucoup e suis quelqu`un qui se donne toujours a fond dans ce qu`ellle fait et je suis mal tombe cad sur une personne qui a tout compris et qui en abuse, je travaille 88 heures par mois et je suis paye pour 36 heures seulement. experience de mon c… que je veux, cela ades retombees sur moi d`une part car je me maudit, et sur les miens qui ne comprennes rien a ce que je fais, moi meme je ne me comprends pas. quittes ce poste et vois ailleurs ce que tu peux trouver je n`arrete pas de me dire mais la eu moins j`ai ces quelques sous en poche pour vivre ou survivre, quatre mois a chercher avant ce poste sans rien trouver pourquoi trouverai je maintenant, je garde cela en attendant de trouver mais je n`ai pas le temps de chercher autre choses je suis piege je me suis fait piege.
enfin merci atous et j`espere vous lire. au fait excusez les fautes, j`ai meme casse mes lunettes et je ne peux les refaire en ce moment cela coute un mois de salaire de se les faire refaire entre l`examen de la vue 45 $ et +, les verres 125 $ et + , la monture 120 $ a 400 $, mieux vaut avoir mal a la tete..
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Ecrit par : peanut 5-12 à 11:54
Pour ce qui est des lunettes, il y a certaines cliniques qui offrent de payer sur 6 mois sans intérêt…par contre, il faut que tu sois acceptée par l’organisme de crédit…De toute façon, la demande ne coûte rien…
Autrement, si c’est seulement la monture qui est cassée, tu peux faire retailler les verres dans une autre monture, ce qui reviendra moins cher…
Bon courage et ne lâche pas!
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Ecrit par : christine76 5-12 à 12:05
Tu trouveras plus facilement tout simplement parce que tu as maintenant cette fameuse expérience québécoise. Les employeurs te feront plus facilement confiance car tu as déjà eu un emploi ici.
Lâche pas, essaie de changer d’emploi car plus d’argent et une meilleure ambiance te feront voir ton immigration d’un autre oeil.
Et je serais toi que je refuserais de travailler toutes ces heures sans être payée. N’aies pas peur de faire valoir tes droits, personne n’a le droit de t’exploiter.
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Ecrit par : Kiki 5-12 à 12:39
Relève le menton Hung Up !! Pour le moment garde ton job et en même temps prospecte ailleurs, quitte à changer un peu de branche pour te remettre à flot et faire apprécier la société Québécoise. Allez Courage !!!
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Ecrit par : AugustClo 5-12 à 12:46
Mais arreter de dire aux gens dans une mauvaise passe / decus qu’ils se sont mal renseignes! Tu peux te renseigner autant que tu veux, parfois les evenements s’enchainent tels que la malchance te poursuit et la t’as pas besoin d’entendre que tu t’es passes renseignes alors que peu de gens etaient aussi bien informes que toi avant d’arriver….
HungUp, je te conseilles comme beaucoup d’autre de te chercher un autre job en parallele que tu travailles encore… tu dis que tu n’en as pas le temps a cause de tes heures sup non payees et c’est pas evidents de dire a son patron qu’on ne veut pas travailler plus que ce qu’on n’est payes mais c’est ce que tu dois faire si tu veux avoir une chance de sortir la tete de l’eau… si tu continues comme ca, tu ne feras que sombrer un peu plus a chaque jour qui passe et en cette periode de fetes, c’est vraiment pas le moment…
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Ecrit par : Lachtite 5-12 à 13:24
Surtt qd ça vient de gens qui sont encore en processus d’immigration Dans l’immigration il y a un choc cultturel à gerer! Et puis la solitude, il ne faut pas la nier!!!
Faut être honnete on passe tous et on passera tous par des coups durs, et les coups durs sont bcp plus durs à vivre qd on se retrouve dans un pays inconnu!!!
Qq1 l’a déjà dit précedemment mais ds ton pays tu te dirais, quel con, tu gueulerais et tu chercherais autre chose!! Tu serais plus combative mais ici, seule au monde comme tu le dis, tu ne trouves pas de motivation!!!
Repense à ce qui t’a fait venir ! repense à ce que tu as quitté! On a tous tendance à idéaliser ce qui est loin de nous ! Mais tu as besoin d’objectivité! Tu as besoin de te rappeler pourquoi tu es venue!!! Fais des choses qui te font du bien, respire un bon coup!!! Et change de job!!!
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Ecrit par : mardirar 5-12 à 13:47
Salam amis forumistes,
Je trouve tres maladroites certaines interventions concernant la situation actuelle de Hang up.
Concernant les donneurs de lecons qui se permettent de faire des commentaires sans qu’ils soient deja eux memes icitte (au Quebec ) je trouve cela fort .
Il se trouve que oui , la realite est souvent autre chose que l’on s’imagine avant d’etre sur place , le reve americain se transforme souvent en cauchemar , la realite est souvent plus vrai pour l’immigration issue du Maghreb…….pourquoi me diriez vous ?……bien souvent c’est des facteurs qui depassent l’immigrant a titre individuelle.
C’est pour cela que des sites et des forums pareils (immigrer.com ) apportent beaucoup d’informations et d’outils pour les futurs immigrants d’ailleurs j’en remercie les initiateurs.
OK analysons bien la situation des immigrant provenant de l’Algerie cas que je connais bien :
-experience de travail deja acquise
-en majorité francophone
-diplomes universitaires
-en age d’integrer le marche de l’emloi
-pret a fonder une famille (si n’est deja fait )
en resumé tout les ingédiants pour une intégration reussi ……santé et judiciaire , diplomes , experiences de travail,………..mais la ralite est tout autre , un chiffre parmis tant d’autres resume la realité ………………..les immigrant tous confondu n’occupent que 2.5% des postes de la fonction publique.
trouvez vous cela realiste pour un pays ou l’immigration est le moteur de l’economie , ou la majorités des immigrants participent activement (en travaillant avec des salaires souvent bas est des emlois precaires) a payer les services essentiels telles la retraite , la santé ……… a une population de plus en plus viellissante.
bref ce n’est pas le but de mon intervention mais s’il vous plait avant de donner des lecons renseignez vous bien avant de vous lancer comme ca sur le sujet.
maintenant revenons a toi hang up , je trouve sincerement qu’il est un peu tot pour tirer une conclusion sur ta terre d’acceuil qu’est le Quebec un pays formidable ou il est fait bon vivre , ou les gens sont extraordinaire , respectueux , ………je trouve qu’on ne peut pas faire le bilan de notre immigration en si peu de temp la logique veut qu’il faut un peu plus de temp pour faire le pour est le contre (d’apres moi 3 ans) mais a chaqu’un son experience , …. si tu sent que ta vie familiale va en prendre un coup , alors la non je ne pense pas que ca en vaut la chandelle , dit toi que l’immigration est un reve que l’on veut realiser mais si cela ne marche pas ca ne veut pas dire que c un echec loin de la c’est une connaissance de soi , ce n’est pas une tare de ne pes etre fait pour l’immigration au contraire cela veut dire que tu as de fortes attaches avec les gens que tu aimes , avec ton pays , avec tes parents, avec tes amis ……tout est a ton honneur.
Voila humblemt ce que j’avais a te dire sans pour autant etre un donneur de lecons.
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Ecrit par : Mandy80 5-12 à 15:24
Hang Up…
Je voudrais t’encourager, parce que je crois, d’une certaine manière, me retrouver à un moment de mon immigration dans ton témoignage… Mon troisième travail ici, je l’ai trés mal vécu. Je travaillais tous les jours, je donnais mon maximum dans des conditions pas simples du tout, j’y mettais toute mon énergie, et l’entourage professionnel me poussait à continuer, me disant que j’étais bonne, qu’ils croyaient en moi, mais non, je n’y arrivais pas… Mais ressources financières baissaient à vue d’oeil, je commencais à vivre au crochet de mon chum, et j’ai senti la dépression pointer son nez : plus envie de me lever le matin, plus envie de me battre, plus envie de rien, plus de motivation. C’était le trou noir, les milliards de questions qui se bousculent, l’envie de rentrer, la honte de ne même pas pouvoir me payer une paire de tongs avec l’été qui arrivait.
J’ai été chanceuse Hang Up, ou peut être me laissait-il encore assez d’espoir et un peu d’envie de me battre. L’après midi, au lieu d’aller travailler, je consultais les emplois sur emploi-québec. Je cherchais autre chose, mais plus n’importe quoi. J’en avais marre des jobines, je vallais mieux (ça c’était dans mes lueurs d’espoir ) Puis je suis tombé sur une annonce qui m’intéressait. J’ai pofiné mon CV, écris une lettre de motivation TRÉS TRÉS motivée, et j’ai fait le suivi. A L’entrevue, j’ai montré que cette job elle était pour moi, que je la voulais coûte que coûte, j’ai montré tellement d’enthiousasme, qu’ils ont été enthiousasmé En fait, je n’avais pas le choix, IL ME LA FALLAIT, il fallait que je sorte la tête de ce trou puant. Et j’ai gagné. J’y suis depuis 1 an et demi. J’ai bien déchanté depuis, mais c’est trés correct comme travail
Alors Hang Up, voilà ce qu’il te reste à faire ! Essaye encore un dernier petit coup ! Et peut être que tout ira mieux. Si ce n,est pas le cas, ne te rends pas malade pour autant
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Ecrit par : mardirar 5-12 à 16:37
Salam amis forumistes,
Il est important pour moi de preciser ma reflexion relative à la fonction publique, des deductions hatives ont été formulées par certains forumistes, à savoir, que TOUS les immigrants ne sont interessés que par travailler que dans la fonction publique….C’est vraiment pas l’effet escompté c’est à se demander si c’est de la naiveté ou une volonté de pervertir mon idée….en tous cas
si j’ai donné cette statistique c’est afin d’illustrer un certain constat par rapport à l’accessibilité de l’immigrant aux emplois de la fonction publique qui pour moi est une illustration de cette difficulté. Car et c’est mon avis la fonction publique est l’employeur qui devrait être le plus représentatif de la diversité ethnique et culturelle du Québec et du Canada…Or les immigrants ne representent que 2.5%
J’aimerai juste corrigée un certain préjugé relatif au fait que les immigrants viennent pour faire du Cash….Pour tout ceux qui pensent cela je leur proposerai de sortir un peu et voir du pays car pour l’Algerie, le pays que je connais le mieux tout manque sauf …..Le cash, alors SVP ne jugez si hativement….
Enfin voici une lettre ouverte que j’ai trouvé hier sur un journal algerien «Quotidien d’Oran»que je vous propose de lire…………………Bonne lecture
Lettre d’un immigré au Canada
Ahcène Moussi : Président de l’association
Migrants Maghreb Canada
Nous, immigrants, désirons grandement contribuer au développement du Québec, à sa croissance démographique, sa prospérité économique et sa diversité socioculturelle.
Nous ne sommes pas venus ici les mains vides. Nous ne sommes pas venus ici pour quémander notre pain quotidien. Non ! Nous sommes arrivés ici munis pour la plupart d’entre nous de diplômes et d’une ou plusieurs langues, en plus du français, et avions hâte de partager nos connaissances, notre savoir-faire, notre expérience, de mettre tous ces bagages «intellectuels» à la disposition de cette société qui nous a accueillis. Autant nous apportions avec nous ces actifs qui n’ont rien coûté à notre société d’accueil, autant nous étions prêts à nous investir corps et âme dans cette nouvelle culture. Pour preuve de cette volonté, nous étions prêts à apprendre, à nous remettre en question et à changer nos habitudes de vie pour adopter celles de notre pays d’accueil. N’est-ce pas là la meilleure preuve de notre désir d’intégration ?
Pourtant, pour en arriver là, nous avons eu à surmonter beaucoup de difficultés et d’écueils, à commencer par la séparation d’avec nos familles, nos amis, nos réseaux professionnels. Bref, il a fallu tourner une page de notre vie, espérant en ouvrir une autre plus sereine, pleine d’espoir tant pour nous que pour nos enfants.
Le Canada pour nous était ce havre de paix où nous espérions nous épanouir, panser nos blessures et au sein duquel nous pensions être le point d’arrimage entre notre pays d’origine et celui qui nous a accueillis.
Nous voulions, rêveurs que nous étions, établir des ponts entre les cultures, assurer l’avenir de nos enfants, et nous réaliser en tant qu’hommes et femmes de bonne volonté pour peu qu’on nous en donne la chance. Nous pensions sincèrement que c’était possible par le travail, l’abnégation, le don de soi mais également par une main tendue pour nous aider à faire le premier pas et nous donner la chance de faire nos preuves et de dire au monde que «nous sommes capables», comme n’importe quelle autre personne qui vit dans ce pays.
Nous avons bel et bien satisfait aux critères d’immigration (diplômes, expérience de travail, santé et judiciaire) et les gouvernements fédéral et provinciaux ont bel et bien signé l’entente qui nous lie à eux pour notre installation au Canada.
Nous sommes maintenant canadiens, québécois et de nationalités étrangères aussi; un vrai trois en un ! Un acquis et un droit irréversibles; que cela n’en déplaise à certains. Dans une société dite démocratique, donc basée sur la transparence et l’égalité des chances, seule la compétence (ensemble de savoirs, de savoir-faire et de savoir-être) permettra de distinguer les individus, sur le plan du travail, donc sur la sphère socioéconomique. Malheureusement, nombre d’immigrants maghrébins n’ont pas eu la chance de démontrer leur compétence sur le terrain, puisqu’on ne leur offre pratiquement pas d’emplois. Une telle situation n’est pas sans avoir de conséquences sur eux qui, après avoir consommé leurs maigres économies, se retournent vers l’aide sociale distribuée parcimonieusement. L’urgence, pour raisons de nature financière, les oblige souvent à accepter le premier emploi qui s’offre à eux bien sans égard aux conditions et à la reconnaissance de leurs diplômes; il s’agit souvent d’emplois difficiles, comportant des tâches avec lesquelles ils sont peu ou pas du tout familiers.
La question est donc de savoir sur quelle base, sur quels critères, sur quelle qualité seront-ils évalués.
Saurions-nous les raisons pour lesquelles le Québec nous a ouvert grandes ses portes ? Sont-elles d’ordre économique, démographique… Il se trouve malheureusement qu’on est ici, juste pour servir de poules couveuses « aux oeufs d’or », rien que pour assurer le renouvellement des générations (tout le reste ne nous concerne pas.)
La population québécoise francophone, 6,9 millions d’habitants, est doublement menacée:
1. les taux de natalité n’ont jamais été aussi bas et la cohorte d’âges la plus importante, la génération du baby-boom vieillit;
2. elle vit sur un continent nord-américain peuplé par plus de 250 millions d’anglophones.
L’enjeu est donc clair.
Dans cette province que nous chérissons fort et connaissons bien, la plus grande au Canada et la deuxième plus peuplée, vivent plus de 650.000 immigrants (africains, asiatiques et latinos), dont environ 65.000 (10%) assistés sociaux aptes au travail. Là où le bât blesse c’est que ces mêmes immigrants n’occupent que 2,5% des postes de la fonction publique.
Sur le plan politique, les immigrants font la traversée du désert; leur représentation est quasiment nulle.
De quelle intégration parlez-vous alors ?
Nous entendions parfois de beaux discours faisant allusion à la notion d’égalité des chances, sans égard à la race ou à l’origine ethnique (article 10 et 8.1 de la charte des droits et libertés de la personne). Des « décideurs » ou chefs de partis qui prétendent que les immigrants et les minorités visibles sont une réalité incontournable de la société canadienne; mais est-ce vraiment le cas sur le terrain, ou tout simplement des tentatives de ralliement de votes à la juste cause ? Pourtant, dans la pratique, la réalité socioéconomique de cette catégorie de citoyens n’a jamais suscité un intérêt particulier et encore moins un débat sérieux autour de cette question.
Cette situation a placé ces immigrants dans des conditions de précarité et de risque confortables; ce qui a aggravé le niveau de pauvreté chez eux.
Les immigrants ayant réussi se compte malheureusement sur les doigts des deux mains.
Nous sommes bien placés pour savoir que de nombreux immigrants issus notamment du Maghreb maîtrisent suffisamment le français et disposent de diplômes et de savoirs appréciables pour occuper sans complexe des postes clefs et jouer ainsi leurs rôles d’acteurs économiques au sein de cette société d’accueil; là est réellement l’enjeu stratégique à considérer (un manque à gagner énorme).
Par manque d’intérêt à leur égard, ces immigrants, sans horizon réel, s’empêtrent dans une vie à très court terme, et donc perçue par beaucoup d’entre eux comme instable et sans sécurité.
Certains, découragés et traumatisés, ont préféré quitter le Québec pour une autre province.
Messieurs les décideurs, votre politique d’immigration est un vrai gâchis ! Au lieu de vous concentrer, à coup de millions de dollars, dans la gestion des ambitions individuelles, donc forcément provisoires ou dans des préoccupations administratives insensées, comme les équivalences des diplômes ou la reconnaissance des expériences acquises çà et là, en lieu et place de discours idéologiques malheureusement déconnectés de la réalité, il y a plutôt urgence à inscrire des projets collectifs à grande visibilité et à forte adhésion populaire; j’entends «immigrants inclus». « Ne dit-on pas que les réformes réussies sont celles qui suivent la volonté de la société et non qui la précèdent ».
Au risque de me tromper, le Canada est bien une «société démocratique, une société de droit et de justice», les décideurs, les responsables d’entreprises, les élus locaux… à l’échelle de tout le pays, doivent donc se pencher sérieusement sur cette préoccupation vitale, qui n’est autre que les problèmes que vivent quotidiennement les immigrants, dont celui de l’emploi en particulier.
Il faut donc agir vite; quitte à user d’un puissant coup de barre sur la tête des gens qui continuent à penser que sans eux et ceux qui leur ressemblent, la terre s’arrêtera de tourner; et qui pensent que les immigrants ne sont là que pour renforcer les clans des chômeurs et d’itinérants ou encore celui de l’économie informelle par des activités illégales. Le gouvernement du Québec entend favoriser l’immigration maghrébine dans son plan triennal, où les Algériens représentent 45% de la part réservée à cette contrée. L’Office québécois des statistiques apporte la preuve par les chiffres. En six mois, de janvier à juillet 2006, la province a accueilli 20.519 immigrants, dont 10,8% d’Algériens, 7,6% de Français et 6,4% de Marocains.
L’engouement des Maghrébins pour rejoindre le Québec est sans commune mesure qu’adviendrat-il alors avec cette réalité très dure qui les attend dans cette province qui connaît un fort taux de chômage (plus élevé que la moyenne du Canada). La réflexion gagnante passe par des solutions en profondeur et plus imaginatives; le Québec peut se rattraper, il est en mesure de s’amender, et de régénérer à nouveau, fort d’avoir intégré une dimension nouvelle vers l’universel. Le Québec doit impliquer les immigrants dans les débats qui conditionnent l’avenir de toute la province; qu’ils soient économiques, politiques, socioculturelles, éthiques ou autres…
Le Québec doit, surtout, mettre les moyens nécessaires en vue d’augmenter les capacités d’écoute, de communication et d’information en direction des immigrants, pour une meilleure intégration. C’est dans le dialogue, la conviction mutuelle, l’addition de toutes les bonnes volontés que la société trouvera son compte.
Continuer à agir avec arrogance et à considérer les immigrants comme personnes mineures, le Québec perdrait de sa crédibilité sans aboutir à « domestiquer » personne.
Il se trouve aussi que les immigrants maghrébins sont quelque peu rudoyés face à cette sorte de tolérance de la société d’accueil, inhabituelle pour eux. Les hommes et les femmes ont les mêmes responsabilités et jouissent des mêmes droits aux yeux de la loi tant dans les affaires publiques que dans la vie privée. Cette permissivité, cet air de liberté qu’ils découvrent n’est pas sans incidents au sein des couples suite au choc produit par l’exercice des droits individuels (épouses maltraitées, fugues chez les jeunes filles, divorces, etc.).
Il est vrai que l’immigrant doit fournir des efforts pour s’intégrer et s’adapter à son nouveau milieu de vie. Il doit être prêt à découvrir et à respecter les valeurs fondamentales de la société d’accueil. Il doit reconnaître la diversité et s’inscrire dans cette riche mosaïque culturelle internationale. Il doit accepter d’évoluer dans le respect des autres et de tolérer la différence. Il doit surtout savoir défendre ses valeurs pacifiquement, dans le cadre d’un débat ouvert.
Les Maghrébins ont beaucoup à gagner à s’approcher, se parler et s’accommoder. Ils doivent, à l’instar des autres communautés, reconnaître et maintenir la laïcisation comme valeur commune de l’espace public. Ils doivent aussi respecter les particularités religieuses des autres, et vivre leur foi en toute sérénité.
C’est seulement à ce prix que nous pourrions parler d’intégration réussie… Je dirai plus exactement d’un modèle québécois.
Vous êtes libres de ne pas souscrire à ce que j’ai écrit, mais au moins reconnaissez que c’est la vérité.
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Ecrit par : J’arrive le Quebec 5-12 à 18:36
Hung Up,
J’ai pas de conseil à te donner ni des mots à te dire. Seulement je voulais te porter mon soutien.
J’ai vécu cette expérience à mon arrivée en France également. Un boulot de coursier payé 510 Euros après six mois de recherche. C’était chez un compatriote qui n’a pas arrêté de me promettre que demain je serai augmenté et j’aurai un poste dans mon domaine…. Mais quand le poste se libère. Ben ce demain n’est jamais arrivé et le poste ne s’est jamais libéré.
J’avais le même sentiment que toi. Je voulais partir, rentrer, retrouver mes amis et ma famille.
Mais Rabak ne laisse personne en détresse, j’ai trouvé un autre boulot dans mon domaine, bien payé et voila.
Les menteurs sont partout, mais la différence quand ils mentent et on n’est pas chez soi, on se sent plus seul et c’est plus difficile.
Dit à toi-même, tu n’as jamais étais dans cette situation chez toi ??? Ça arrive partout.
L’important qu’on ne baisse jamais les bras et on garde l’espoir et on continue à se battre.
Je te souhaite de tout mon cœur de trouver ton bonheur le plus vite possible et de fêter l’Eid avec un nouveau boulot et pleine d’amis.
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Ecrit par : Mourad & caroline 6-12 à 6:53
Salam alaykoum, Bonjour,
Je vais donner mon point de vue.
Personne ne te comprendra mieux qu’un membre de famille, ton pays, ta religion ou quelqu’un qui a vécu ce que tu as vécu (un immigrant).
Beaucoup d’immigrant pensent d’abord à se fondre dans la société ou culture québécoise mais je pense qu’il est nécessaire avant tout chose de trouver un confort affective auprès des gens qui nous ressemble.
Je lis beaucoup de choses sur la société quebecoise, hypocrisie dans les relations, impossible de se faire des amis, etc.
Je connais un peu la mentalité aux USA, j’y ai des amis, je ne pense pas qu’il s’agisse d’hypocrisie. Il faut accepter de vivre une relation amicale différament. Et connaissant la mentalité des algériens c’est le jour et la nuit. Les algériens sont tous les un sur les autres. Impossible de faire un pas sans que tout le monde s’en inquiètes.
Les francais ont une toute autre mentalité, les anglais n’en parlons pas !
Il faut accepter la différence de point de vue.
Pourquoi je dis tout ça ? En fait, je pense lorsqu’on immigre sans cette approche, on se retrouve isolé entre sa communauté qu’on a laissé derrière et un peuple difficile à intégrer. On se retrouve seul et chaque geste implique des risques démesurer. On a moins de risque a lâcher un emploi dans une entreprise crapuleuse lorsqu’on à l’entourage pour encourager et même parfois aide.
Parfois l’isolement conduit à pire, suicide, trafic de drogue, etc …
C’est pourquoi, lorsque j’arriverai au Québec, je chercherai d’abord conseil auprès des immigrants et mes coreligionnaires. Ils sont beaucoup mieux placer pour donner des conseils que les quebecois de 3éme génération.
Les immigrants sont pour les nouveaux arrivant le cheval de troye qui permet d’intégrer la société québécoise.
Demander conseil a ceux qui savent voila la véritable sagesse.
Maintenant, je te conseil de chercher du travail ailleurs et de quitter ce job pour ce nouveau.
En ensuite ? et bien c’est pareil, tu cherches à nouveau ailleurs mais tu seras cette fois plus exigent. C’est comme dans l’informatique en France en 1999 les gens changaient de boite tout les 2 mois avec un turn over de 40 %, en Amérique les emplois tournent, c’est dû à la flexibilité des contrats de travail.
Un autre conseil, en Amérique du nord, il est pas rare de cumuler 2 jobs pour s’en sortir, tu vas me dire comment on fait ? c’est dur ? et bien je vais te répondre par une autre question, comment fait tu pour travailler en heure supplémentaire sans être payé, c’est dur ? Et comme c’est pas rare, tu peux toujours expliquer a ton patron que les heures supplémentaire, tu préfères les utiliser pour te faire un réseau de contact ou cumuler avec un autre job ou garder tes enfants (bien oui car toi au moins tu payes lorsque tu fais garder tes enfants ) car il ne faut pas te leurrer, il est parfaitement informé qu’avec ce qu’il te paye tu ne peux pas survivre et que tu finiras par partir quand tu auras fini toute tes économies. En fait, tu finance une partie de ton propre salaire, alors bien sur c’est un patron heureux mais il ne te le fera pas savoir, il préféra que tu es peur jusqu’à ce que ton dernier sous s’envoler et là tu devras aller a l’aide sociale.
Des employeurs pourri, il y en a partout.
J’ai un autre conseil pour tous, lorsque vous arrivez au Québec, chercher un job sans qualification c’est pas plus de 10% de vos recherches, le reste c’est pour un job a votre qualification. en de préférence essayer de décrocher un mi temps pour faire de… (texte tronqué)
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