Il ne s’agit pas là de dire ou non de belles choses mais de faire face à une réalité, celle de l’immigration car contrairement à ce que vous pouvez penser il s’agit bel et bien d’une chance. Bien évidement que le Canada ne fait pas cela par philanthropie mais quel système est encore philanthrope aujourd’hui ??? Aucun.
L’immigration est un contrat passé entre 2 entités distinctes, nous et le Canada et à ce titre certaines clauses peuvent être difficilement vécu voir lourdes de contraintes mais vous en connaissez beaucoup des contrats sans contraintes ???
Contrairement à ce que vous écrivez, je ne crois pas que pour la majorité d’entre nous l’immigration soit une fuite (je ne parle pas les des réfugiés politiques) mais plutôt un désir conscient de se réaliser ailleurs dans une autre système, de retrouver amis, amant ou maris et de construire une vie qui nous ressemble d’avantage.
Fuir sa vie, immigration ou pas, cela ne sert pas à grand chose car on retrouve ou que nous allions nos problèmes puisque nous les portons en nous et là c’est vraiment la professionnelle des ressources humaines que je suis qui vous le dit. Partir en étant clair avec soi même c’est se donner toutes les chances de réussir sinon on risque d’aller de déception en déconvenue…
Bien sûr l’attente est longue et j’en sais quelque chose puisque je suis aussi dans ce processus d’immigration depuis quelques mois, mais ce que j’écrivais c’est que l’on peut attendre « activement » en remplissant sa vie, en continuant à avancer plutôt qu’en guettant le facteur tous les jours, ce que j’ai fait pendant 15 jours. Là oui, si on est suspendu à cela on a toutes les chances de finir maboule.
J’aurais pu arrêter de bosser en me disant, j’attends et chaque jour être déçu, blessée par le silence mais j’ai décidé de continuer à avancer ce qui me rend l’attente moins lourde et c’est cela que je voulais traduire dans mon message. Chaque chose à un côté positif et négatif et chacun d’entre nous à le libre arbitre de choisir la façon dont il va vivre cette expérience.
Vous ne réformerez pas le système de l’immigration en place et même si je regrette comme beaucoup le manque d’information concernant notre dossier (ce qui serait la moindre des choses), je ne crois pas que l’on puisse s’immiscer dans le processus de sélection et demander des comptes (pourquoi tel documents et pas tels autres etc…).
Vous auriez du lire correctement mon message et vous auriez alors compris que ce n’est pas à SON ambassade mais à l’ambassade du pays où on l’on a SEJOURNE que l’on peut obtenir le casier judiciaire. Il ne faut pas s’arrêter à un « non » car ils peuvent vous le fournir. Il faut juste insister quitte à faire appel à l’Ambassadeur en poste. Je sais ce n’est pas un long fleuve tranquille mais le visa vaut le coût que l’on se défonce, non ?
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