Etre enseignant au Québec
Zazouille Ecrit
[B]Alors d’apres ce que g compris il faut un permis d’enseigner… mais j’aimerais bien que l’on m’explique depuis le début! au niveau des équivalences etc… cette année je suis prof contarctuel mais moi je veux être prof de primaire…
est-ce que ça vaut la peine de passer mon concours de prof des écoles en france sachant que je veux émigrer au Québec?
merci d’avance pr vos réponses!! [/B]
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pieralinea Ecrit
Je te conseille de regarder sur le site du MEQ, dans la trousse de demande du permis d’enseigner en primaire, il y a la liste précise de ce qui est demandé.
Avec ta licence, tu auras sans doute sans problème les heures nécessaires de cous universitaires. Avec ton expérience de prof contractuel, les heures de stage… Par contre il risque de te manquer les heures de pédagogie et de didactique…
La 1ère chose à faire est de faire évaluer tes diplômes par le MICC (sur leur site tu trouveras la trousse de demande d’équivalence de diplômes).
Bon courage!
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O’Hana Ecrit
En fait, techniquement, lorsque l’étudiant finit un bacc en enseignement (primaire et préscolaire ou secondaire) au Québec, le MEQ « demande » à son université si un permis d’enseigner peut lui être délivré lorsqu’il aura complété sa formation. Cette demande est strictement formelle car la formation a bien entendu été calibrée pour respecter les exigences du MEQ.
Et sans ce permis, point de salut au Québec pour enseigner dans les établissements d’enseignement publics de niveau primaire et secondaire. Et comme le MEQ est très pointilleux là-dessus (et qu’il marche main dans la main avec les universités pour remplir ses classes, il ne faut pas se le cacher), s’il peut valider une formation étrangère au complet, un retour à l’université est presque toujours inévitable (pour des cours de pédagogie par exemple comme l’écrit Aline). Ainsi, une demande d’équivalence auprès du MICC est en effet plus que suggérée pour avoir l’heure juste une première fois.
À noter que le système d’éducation québécois subit une refonte totale ces dernières années : je ne suis pas très au courant au niveau primaire mais au secondaire, les quatre options pour l’enseignement sont : le français, les mathématiques, les sciences, et éducation à la citoyenneté (hist-géo). Enfin, il faut être familier avec le concept de l’approche orientante.
O’Hana
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Zazouille Ecrit
[B]Alors d’apres ce que g compris il faut un permuis d’enseigner… mais j’aimerais bien que l’on m’explique depuis le début! au niveau des équivalences etc… cette année je suis prof contarctuel mais moi je veux être prof de primaire…
est-ce que ça vaut la peine de passer mon concours de prof des écoles en france sachant que je veux émigrer au Québec?
merci d’avance pr vos réponses!! [/B]
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shagrine Ecrit
Y a un autre post qui parle de ca, c’est permis d’enseigner je pense le titre.
Bon courage, je suis dans le mm cas que toi
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pieralinea Ecrit
Je te conseille de regarder sur le site du MEQ, dans la trousse de demande du permis d’enseigner en primaire, il y a la liste précise de ce qui est demandé.
Avec ta licence, tu auras sans doute sans problème les heures nécessaires de cous universitaires. Avec ton expérience de prof contractuel, les heures de stage… Par contre il risque de te manquer les heures de pédagogie et de didactique…
La 1ère chose à faire est de faire évaluer tes diplômes par le MICC (sur leur site tu trouveras la trousse de demande d’équivalence de diplômes).
Bon courage!
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O’Hana Ecrit
En fait, techniquement, lorsque l’étudiant finit un bacc en enseignement (primaire et préscolaire ou secondaire) au Québec, le MEQ « demande » à son université si un permis d’enseigner peut lui être délivré lorsqu’il aura complété sa formation. Cette demande est strictement formelle car la formation a bien entendu été calibrée pour respecter les exigences du MEQ.
Et sans ce permis, point de salut au Québec pour enseigner dans les établissements d’enseignement publics de niveau primaire et secondaire. Et comme le MEQ est très pointilleux là-dessus (et qu’il marche main dans la main avec les universités pour remplir ses classes, il ne faut pas se le cacher), s’il peut valider une formation étrangère au complet, un retour à l’université est presque toujours inévitable (pour des cours de pédagogie par exemple comme l’écrit Aline). Ainsi, une demande d’équivalence auprès du MICC est en effet plus que suggérée pour avoir l’heure juste une première fois.
À noter que le système d’éducation québécois subit une refonte totale ces dernières années : je ne suis pas très au courant au niveau primaire mais au secondaire, les quatre options pour l’enseignement sont : le français, les mathématiques, les sciences, et éducation à la citoyenneté (hist-géo). Enfin, il faut être familier avec le concept de l’approche orientante.
O’Hana
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