Les découvertes se succédent…notre témoignage sur la scolarité de nos enfants. - Immigrer.com
jeudi , 21 novembre 2024
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Les découvertes se succédent…notre témoignage sur la scolarité de nos enfants.

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Les découvertes se succédent…

Ecrit par: isseo17 6-05 à 10:27

Hello!

Nous vivons une nouvelle expérience qui pourra intéresser, je pense, les parents d’ados, désirant venir s’installer au Québec.

Nous sommes arrivés en octobre. Mon fils de 12 ans a été intégré en secondaire 1ère année (équivalent 5ème).

Nous découvrons ,petit à petit, le fonctionnement (complexe) et l’organisation (non moins complexe!) du secondaire.

Les notes sont en %. Les critéres d’attribution des notes et les coéfficients appliqués restent très nébuleux. D’autant qu’ils changent à chaque étape (4 dans l’année+ un examen final).

Pour passé dans la classe supérieure, nous avons compris qu’il faut , en final,une moyenne de 60% et:

-60% au moins dans deux matières fondamentales sur trois (français,anglais, math)

– 26 unités (comptabilisées comments?) dont 10 dans ces trois matières

Si un élève obtient une note entre 50 et 60% dans une de ces matières, il doit (obligatoirement je pense) participer au cours d’été :- coût 200$ env.+ transport
– date; du 5 au 22 juillet!

Nous en sommes là!

A la troisième étape, il lui manque l’anglais et les maths.

Il a toujours été un élève moyen-moins, que nous n’avons jamais pu faire redoublé en France. Il démarre donc chaque année avec un peu plus de lacunes, qu’il a de plus en plus de mal à combler. Il s’essouffle, se dégoûte…

En arrivant, il a été agréablement surpris par le rythme des cours, par l’organisation de l’école, et par l’écoute de la part de l’équipe enseignante. Mais les exigences n’ont pas diminuées (loin de là), elles ont simplement plus complexes à comprendre.

Le coût de grâce, c’est de comprendre que cette fois, il va devoir, en plus ,aller à l’école cet été…. Et s’il passe en secondaire 2, il semble parti pour faire ça tous les étés : au revoir nos vacances en France !!! Et bonjour le budget de l’école gratuite

Je vais, cette fois encore, aller plaider la cause d’un redoublement. Qu’enfin, il puisse reprendre son souffle. Qu’enfin nous puissions aborder une année avec plus de calme et de sérénité.

J’espère que mes arguments seront enfin entendus. Le système d’éducation du Québec nous semble très à l’écoute du bien-être de l’enfant, j’ai donc de l’espoir….

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Ecrit par: _Romain_ 6-05 à 11:07

salut Isseo,

Oui, à ce que j’ai cru comprendre, les sessions d’été permettent de récupérer les crédits là où il y a echec (donc moins de 60%).

Ces sessions sont apparemment plus détendues que les cours et adaptées.

Effectivement, dans le cas où il doit faire trois semaines supplémentaires, c’est pendant les vacances (« sacrées » pour ceux qui arrivent de france) Mais c’est aussi une adaptation au mode de vie là bas, moins de vacances, et il reste tout de même le mois d’aout.

Je sais que c’est difficile à vivre mais je pense que c’est plus détendu et il faut voir ça comme une chance (plus facile à dire qu’à vivre je le concède). Mais en tous cas, ne cédez pas à la panique, il peut très bien progresser s’il est aidé et remonter son niveau et passez de superbes vacances les prochains étés (pas nécessairement en france ! bcp de coins sont à visiter en famille à partir du québec).

Ces 200$+transport ce n’est pas tant que ça quand on compare a une semaine ou deux de colo de vacances. Et ça motive pour l’enfant pour travailler !

Ma blonde qbcoise a vraiment apprécié ses intersessions et elle en redemande.

Ne dramatisez pas et voyez ça comme un rattrapage du mois du mois de septembre qu’il n’a pas eu avant son arrivée.

Aviez vous 2 mois de vacances pour rentrer en france ?

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Ecrit par: kabi 6-05 à 11:14

Bonjour ISSEO17.

C’est vrai c’est un autre système, cela demande un genre d’adaptation ….

Moi aussi au collégiale j’ai remarqué que les notes se donnait en %… encore plus j’ai constaté que pour un cours donne en classe de 3h il te faut entre 3 a 4 heures.. pire si c’est des matières prealabales (comme pour ton enfant au sujet du français, anglais, math) .. ça va aller à une préparation de 6 heures .
Donc ce que je peux suggérer :
Primo essaie de convenir un rendez-vous avec un des assistants pédagogique, afin qu’il te re-explique le système.

Secondo, personnellement (je dis bien personnellement) je ne sais pas pour un redoublement de l’année, mais si il devrait y avoir un redoublement ça sera un redoublement d’effort pour le petit (et oui accepte de faire des études pendant l’été)… mais pas à la façon militaire : essaie de trouver un moyen de lui rendre l’apprentissage d’une manière ludique (jouer tout en apprenant).

Tertio : quand le moment de repos arrive, fais de sorte à ce que ce soit des moments inoubliables, genre pique-nique en plein air.. faire du vélo (le parcs sont si nombreux au Quebec)… etc. etc

Tu sais ISSEO17, des fois ce sont des petits sacrifices qui rendent la vie si agréable a vivre … pense y
Bon courage pour le petit …

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Ecrit par: Joey 6-05 à 11:18

QUOTE
Si un élève obtient une note entre 50 et 60% dans une de ces matières, il doit (obligatoirement je pense) participer au cours d’été :- coût 200$ env.+ transport
– date; du 5 au 22 juillet!

Pareil que Romain, je ne trouve pas ça vraiment excessif. Et si ça peut permettre d’éviter le redoublement, c’est tant mieux!!! C’est toujours traumatisant pour un enfant de redoubler (et je sais de quoi je parle )

Je ne sais pas comment cela se passe pour le Quebec mais pour les Etats-Unis, le redoublement est trés trés rare car ça fonctionne par modules. Par contre en France, c’est monnaie courante Si c’était à refaire, je refuserai le redoublement et j’aurai passé mon Bac avec des lacunes. Tout de façon, quand on pense qu’on oublie au moins les trois quarts de ce qu’on apprend dans le secondaire, rien à faire de la culture générale, l’important est le diplôme, le résultat!!!

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Ecrit par: Boudebouchon 6-05 à 11:21

Je pense que ce qu’Isseo désirerait, c’est surtout un redoublement plus que des cours de rattrapages tous les étés. Je ne suis pas non plus une adepte du redoublement mais il faut voir au cas par cas. Peut-être que pour son fils, c’est ce qu’il y aurait de mieux. Je pense que c’est à elle et surtout son fils de juger de cela. Qu’est-ce qu’il en pense lui ? Au bout d’un moment, on a parfois besoin de reprendre son souffle, le rattrapage ne suffit plus ….
Pour les vacances, tout le monde est différent. Certains préfereront visiter le Québec. Pour d’autres, les vacances en France pendant 2 mois avec la famille, les cousins, etc…. ça peut être très important pour un jeune immigrant de 12 ans.

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Ecrit par: isseo17 6-05 à 12:48

Pour vous répondre:

Ca fait trop longtemps qu’Aurélien est à bout de souffle dans ses études.

A 12 ans, il se trouve devant un mur, qui est chaque année plus haut à franchir, et qu’il franchit, malgré tout avec de plus en plus d’aide, de soutien, d’effort et…de souffrance.

Ne vaudrait-il pas mieux stopper un bon coup au pied du mur, prendre du recul, reprendre son élan et repartir sur un tremplin solide ?

Et enfin, pouvoir envisager son année scolaire, et les suivantes, non comme une montagne insurmontable, mais comme un chemin un peu abrupt.

Pour ce qui est de l’été, oui, il prend sça comme une parfaite vexation de plus: L’été est sa période de délivrance (et la mienne). Il a 4 frère et soeurs qui seront bien tranquillement en vacances, qui raleront parce qu’on sera coincé par les cours, qui profiteront de la piscine et des balades… Alors, oui! Je pense que ça aussi, c’est traumatisant!

Pour les vacances en France: c’est notre mode de vie.Des liens familiaux très forts nous motivent. Nous sommes au Québe, et nous en sommes heureux, mais nous restons et resterons très attachés à notre pays.

Pour les 200$, vous en parlez à votre aise: Nous n’offrons pas de colo ou de voyages à nos 5 enfants. Les vacances se passent en famille, simplement, et justement dans la maison familiale de Royan, sans coûts suplémentaires.
Chaque enfants bénéficie dune activité extra scolaire (et d’une seule…) pendant l’année, et la famille est heureuse comme ça. Cest le modèle « famille nombreuse » heureuse!

Payer un rattrapage une année, c’est une opportunité que j’approuve tout à fait, mais savoir que cet argent ne fera récupérer à mon fils que le strict nécessaire pour passer (croyez moi: je le suis, pardon le pousse ,depuis assez longtemps pour savoir que ses lacunes ne se boucherons pas en 3 semaines!) et que le problème sera reporté d’année en année, ne m’enchante guère!

Je n’ai pas écrit ce message pour créer une polémique. Je transmet juste une information que je viens d’avoir.

J’aurais aimé être mieux renseignée sur ce fait, avant de partir. On aurait été moins surpris! C’est pourquoi, je passe l’information.

Quant à ce que je pense de cette organisation, c’est effectivement personnel et fonction de notre propre situation.

Je le dis lorsque les choses me plaisent, mais je le dis aussi lorsqu’elles me plaisent moins.

Suis-je pour autant une MF bourée de préjugés et d’attitudes à changer? Libre à vous de le penser….

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Ecrit par: Boudebouchon 6-05 à 12:58

Non, Isseo, tu ne l’es pas, rassure toi. Je comprends parfaitement ce que tu ressens. Tu as le droit de trouver que 200$, c’est beaucoup, tu as le droit de rentrer en France pendant 2 mois avec tes enfants pour voir la famille si c’est ce qui vous fait plaisir et tu as aussi le droit de penser que c’est le redoublement qui est la meilleure solution pour ton fils : c’est TOI sa mère et tu es certainement la mieux placée pour le savoir. Ce n’est pas une histoire d’être français ou québecois. Je te souhaite bonne chance et bon courage ainsi qu’à ton fils.

Juste quelque chose que je ne comprends pas : si tu refuses de lui faire faire ces cours de rattrapage, que se passe-t-il ?

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Ecrit par: Zogu 6-05 à 13:08

Hé oui, le système scolaire québécois est humain et… strict. Il ne faut pas se laisser amadouer par son côté copain-copain: le niveau technique est très élevé.

Le système scolaire québécois essaie d’éviter que les élèves ne redoublent. Car cela est toujours un traumatisme pour l’enfant: il perd ses compagnons d’études et il est en plus humilié en étant obligé de se joindre aux « plus jeunes ». Le redoublement peut contribuer à démotiver encore plus un enfant.

C’est pour cela que les cours d’été sont vus comme une solution de moindre mal. Car si l’étudiant n’a pas passé son année, on ne peut pas le laisser passer au niveau suivant; il faut lui enseigner les choses qu’il ne maîtrise pas encore. Cependant, les cours d’été coûtent très cher au système scolaire, et les parents se font refiler une partie de la facture.

Les cours d’été sont d’une excellente qualité et souvent, les étudiants bénéficient de beaucoup d’attention et de patience.

Je dois vous avouer quelque chose: lorsque j’étais au Cégep, j’ai échoué deux cours lors de ma dernière session en Sciences Pures. Si j’avais été obligé d’attendre à la session suivante pour les reprendre, j’aurais perdu UN AN pour mon admission à l’université. Au lieu de cela, je les ai repris en cours d’été; le jour j’allais à ma job d’été, et 4 soirs par semaine j’allais à mes cours. Ce fut un été essouflant, mais j’ai quand même eu 2 semaines de calme à la fin. Et la satisfaction de ne pas avoir perdu mon temps.

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Ecrit par: isseo17 6-05 à 13:08

Je n’en sais rien!

Je vais essayer de déblayer la situation avec son prof principal.

J’ai toujours trouvé une bonne écoute auprés de l’école. Je vais donc , au moins, pouvoir m’informer.

Merci beaucoup de ton soutien.

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Ecrit par: may_line 6-05 à 13:56

Bonjour tout le monde!

Je n’ai pas fait mes études au Québec (je n’y suis allée pour le moment qu’en vacances!!) mais par contre, je suis passée par un redoublement!

Et j’en ai survécu!!
Je suis même heureuse d’avoir redoublé, et ça pour plusieurs raisons:
d’abord, je commencait sérieusement à m’essoufler (comm ton fils), et pui en plus je ne m’entendais avec aucun de mes camarades de classe!!

Tout ça pour te soutenir: un redoublement, ça peut peut-être être traumatisant… mais ça peut aussi être super enrichissant!!!

Tu connais ton fils et je suppose que vous en avez déjà beaucoup parlé ensemble.
alors si tu es intimement persuadée que c’est la meilleure solution pour ton fils, et ta famille (et oui les vacances en famille, c’est aussi super important pour se sentir bien ensemble pendant l’année!!) alors fonce et fais ce que tu peux pour que le redoublement soit accepté!!

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Ecrit par: nissart 6-05 à 14:26

Ton fils est en secondaire 1 et c’est l’equivalent de la 5e en France ?
J’ai contacté une ecole secondaire pour ma grande, le conseiller m’a indiqué que ma fille entrerait au secondaire 1, elle a 11 ans (mars) eszt en cm2 et devait passer en 6e en France la rentrée prochaine.Elle aurait un test de Français et de math avant d’etre admise.
Donc je m’interroge au vu de ce que tu dis, le conseiller se serait il trompé ?
D’autres parents peuvent me confirmer ?

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Ecrit par: isseo17 6-05 à 14:34

Hello

Ici la 6ème année fait encore partie du primaire. Le secondaire ne commence qu’à 12 ans normalement.

Mais souvent, les écoles s’attendent à ce que les petits français soient très en avance. Ce n’est pas toujours vrai. Ca dépend du niveau de chacun, d’où les tests.

Pour plus de renseignements, il faut contacter la comission scolaire dont tu vas dépendre.

Pour nous, ils ont même voulu mettre mon fils en secondaire 2 ( un comble!) c’est moi qui ai insisté pour la secondaire 1.
Il faut être vigilant et veiller à ce que ta fille trouve sa juste place.

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Ecrit par: nissart 6-05 à 14:40

Pour le niveau scolaire je sais pas, elle est excellente éléve depuis le debut mais je m’inquiéte plus quand a la difference d’age avec les autres éléves mais d’un autre coté il faut tjs la stimuler car si ça ne va pas assez vite ou qu’elle reprend les mêmes leçons/cours elle va s’ennuyer (deja vecu).
Enfin que de questions a se poser

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Ecrit par: clap 6-05 à 16:16

bonjour Nissart et Isseo,

Comme toi Nissart, je suis un peu surprise, j’ai inscrit (par correspondance car pas encore sur place) ma fille à l’école pour la prochaine rentrée.
Elle aura 13 ans fin juin et passerait ici en 4ème. Elle travaille bien mais elle est dyslexique , l’orthographe est une cata ….
Bref l’école où nous l’avons inscrit l’a placé en secondaire 3 soit l’équivalent d’une 3eme. J’avoue que je m’inquiète pour 2 choses , primo le niveau et secundo l’age des autres élèves. La transition risque déjà d’être tout de meme perturbante alors ??
Comme nous arrivons le 11 juillet à Quebec, je vais prendre rendez vous avec le responsable de l’école pour que nous en discutions et voir ce qui lui correspond le mieux.
A vous lire , il semblerait que les compétences de nos enfants soit systématiquement « sur-évaluées ».
Pour moi l’important c’est que ma fille se fasse bien à l’école s’y sente en confiance et ne décroche pas.

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Ecrit par: JayJay 6-05 à 20:16

J’ai du mal à comprendre cette insistance à redoubler… Ma belle-fille qui est en terminale a volontairement décidé de la redoubler, histoire d’obtenir de meilleures notes pour être admise à la fac de droit… J’sais pas, mais j’ai tendance à croire que si on a besoin de faire sa terminale deux fois, le droit, ce n’est peut-être pas indiqué. Ici, redoubler, c’est vu plutôt péjorativement : pas bon pour l’estime de soi (aaah l’estime de soi, en Amérique du Nord…), pas bon pour les relations sociales… Je préfère quant à moi avoir la possibilité de faire du rattrapage – et s’il y avait les ressources nécessaires pour s’occuper des enfants en réelles difficultés d’apprentissage… ce serait encore mieux! Malheureusement, les profs sont souvent pris avec des classes de 30, avec des élèves très bons, d’autres en difficultés d’apprentissage, et d’autres qui ont des troubles du comportement… Enfin, je ne veux pas dresser un bilan alarmiste non plus… Tout ça pour dire que je suis assez favorable aux revendications des profs en ce moment!

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Ecrit par: LES L5 6-05 à 20:46

Bonsoir,

Ma fille Sarah, qui aura 14 ans en Sept. était en 4 ème en France.
Lorsque je l’ai préinscrit de France pour l’école secondaire de Sherbrooke, je me suis adressé d’une façon « générale » à l’école secondaire de « quartier », sans savoir que celle ci était divisée en deux batiments et deux adresses distinctes :
l’une regroupant le secondaire 1 & 2, l’autre le secondaire 3 & 4 & 5 !
Pourquoi je précise cela ? j’y viens …

Le RDV fixé pour l’inscription devait se dérouler avec Mme Untel à l’école 1, et un autre RDV avec M. Truc à l’école 2 (monsieur Truc étant le directeur des deux école)
Tout naturellement, on nous a annoncé que Sarah irait en secondaire 2 avec les enfants de son AGE, puisque c’était « MA » logique !!!
Hors, le lendemain de l’inscription, j’ai été rappelé et l’on nous a annoncé qu’après analyse du bulletin devant une « commission », celle ci avait décidé que Sarah avait le niveau pour entrer en secondaire 3 !
Oh ho ! mais ça, ça n’enchantait pas du tout ma fille à moi ! Etre en secondaire 3 signifiait n’etre qu’avec des jeunes plus agés qu’elle, puisqu’elle changeait de « batiment » et ça, ma fille à moi… ça l’effrayait vraiment !

Gros coup de calgon donc pendant plus de 3 jours, à ne pas savoir quoi faire, à se dire « ben m… alors, on s’attendait pas à ça ! (Sarah était bonne élève, sans difficultés particulières en France, mais pas non plus parmis les premières ! se dire qu’ils estimaient qu’elle avait le niveau pour etre en secondaire 3, la flattait d’un sens, mais s’imaginer avec des Grands.. pouah ! ) … ma Sarah avait perdu son enthousiasme à faire sa rentrée au Québec….. donc, moi maman, j’ai pris mon ch’ti téléphone, j’ai expliqué la situation à la gentille dame, et lui ai demandé de reréviser la situtation comtpe tenu de l’état d’esprit de ma grande, compte tenu du fait qu’on était déjà à mi parcours de l’année scolaire, compte tenu du fait que l’adaptation, plus la nouveauté, plus les amis laissés, plus plus plus ++++, et bien ces personnes étaient très compréhensives, et ma Grande fille a finit (à notre grande joie) par faire sa rentrée en secondaire 2, avec les jeunes de SON age, et ça se passe SUPER Bien !

alors oui, certains cours lui semblent simples, oui, elle refait certains cours, mais bon…l’adaptation est déjà suffisament importante et longue (ne serait ce que par rapport au matériel, aux horaires, au lunch… ). Je suis bien contente d’avoir opté pour le secondaire 2 : Sarah finit son année posément, en toute simplicité, avec de bonnes notes qui l’encouragent , et je le répète, cette année est adaptée à son âge….. avis personnel, je le souligne !

Rolala !je ne saurais jamais faire court, mille pardon

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Ecrit par: Dariane 7-05 à 1:14

Pour ce que je constate de la situation de ton fils Isséo, si c’était moi j’opterais pour un redoublement. Cela ne me choque pas outre mesure et je ne vois pas ce qu’il y a de honteux à redoubler.

L’estime de soi est quelque chose de bien relatif et de tout à fait personnel et certainement pas dicté par la société!

Oui les cours d’été peuvent être une solution pour certaines personnes mais pas pour toutes! Parfois il savoir reculer pour mieux avancer et si ton fils est à bout de souffle je pense que lui faire passer de belles vacances et recommencer son Secondaire I pourrait lui être bénéfique et surtout moins stressant.

Je pense qu’il est un peu comme dans une sorte de spirale où on lui met la pression afin de le faire absolument passer au niveau supérieur sans tenir compte du fait qu’il traînera toujours ses lacunes. Un redoublement permettrait de « couper » la spirale et recommencer à neuf.

On a parfois besoin de secondes chances (Hé oui certaines personnes – et je sais de quoi je parle – ne captent pas tout du premier coup et ont besoin de plus temps!) et cela ne veut pas dire que l’on est moins intelligent et que l’on ne peut pas aller dans des filières plus contingentées par la suite!

Tu es sa maman après tout et tu le connais mieux que quiconque. Moi à ta place je me laisserais guider par cette petite voix que toute maman a au fond d’elle et non par ce que disent ou pensent les autres! De plus à son âge je pense qu’Aurélien est en mesure de réfléchir et savoir lui-même quelle option il préfère, quelle voie serait la meilleure pour lui. C’est un peu sa vie de futur adulte qui commence: apprendre à prendre les décisions que l’on croit les meilleures pour notre bien-être et vivre avec.

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Ecrit par: Joey 7-05 à 6:20

Pour une foué, je suis plutôt d’accord avec toi, JayJay!!!
Je pense que c’est à l’élève de savoir s’il veut redoubler ou pas et effectivement chaque cas est particulier. La question est de savoir si le redoublement est courant au Québec.

Contrairement à Mayline, avoir redoublé ne m’a rien apporté du tout. Après, cela dépend de l’importance que l’on accorde au savoir enseigné. Comme j’estime que l’on nous fait apprendre trop de choses inutiles en France, je ne suis pas pour le redoublement.
On m’aurait proposé comme alternative des cours d’été, j’aurai de suite accepté. Je trouve que c’est une chance et il ne faut pas oublier que le Québec est influencé par ses voisins (Canada et Etats-Unis) qui sont avant tout des sociétés pragmatiques.
Cela signifie que « le temps est de l’argent » et qu’il ne faut pas le gaspiller!!!

Mais ce n’est que mon avis. Bon courage, quelle que soit votre décision.

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Ecrit par: jasmin2006 7-05 à 7:32

salut isseo
je ressens tes préocccupations car moi aussi j’ai des difficultés avec mon ainé Imad (12 ans) il me semble qu’il sont de même tempérament avec ton Adrien,
Tu sais que je n’ai pas de connaissance sur le système local d’éducation mais il parrait qu’il est fiable ( 4 eme dans notre MOOOONDE ). et moi je fais confiance au chiffre.
Bref je crois que certaines interventions sont judicieuses (notament et comme d’habitude ) celle du grand maitre Zogu ou celle de Jay jay. (et je suis de leurs avis) .

je crois que tu devrais décompresser un peu et que tu te fies aux professionnels de son école.
tu dois aussi laisser reflechir Adrien à ce qu’il voudrait lui et qu’ il soit responsable de son choix quel qu’ il soit.

La vie nous ‘a appris qu’il ne sert à rien de gagner des années car il y’a toujours des années qu’on perd même si nous en avons gagnés en étudiant très sérieusement.

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Ecrit par: fortsympa 7-05 à 7:34

pas evident comme probleme

il est vrai que je suis d’accord avec ta reflexion Isseo.

J’ai redouble la 5eme pour les meme raison … et ca m’a bien aide
Maintenant on ne sait pas l’impact qu’aurait un mois de rattrapage sur son niveau qu’en on sait la qualite de la pedagogie quebecoise

parle s’en à son professeur pour tes inquietudes : que vaut il mieux perdre, un moi ou un an compte tenu du niveau actuel de ton fils

par contre je suis pas sur que lui meme et ses frere et soeur le prennent aussi mal de passer un mois de moins en France.

Apres 3 semaines de formations je me rends compte que notre facon europeenne de penser sur la pedagogie est vraiment a revoir et que les quebecois sont tres tres fort et qu’on doit se remettre en question … c’est pourquoi … peut etre un mois suffit, ses frere et soeur devront l’aider dans cette demarche et le soutenir …. meme si je comprends que ca va pas etre facile tout les jours

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Ecrit par: Zogu 7-05 à 9:58

Le redoublement est chose plutôt rare au Québec. On essaie de garder les enfants avec les compatriotes de leur âge. C’est vu comme une forme de justice. N’est-ce pas ce qui est idéal pour eux? (Je vous donne ici le point de vue québécois…)

La question n’est pas vraiment de savoir si le mieux est de redoubler ou de prendre des cours d’été. Le système scolaire est un acquis de société, un reflet de nos valeurs profondes. Le système québécois voit le redoublement comme une profonde injustice faite à l’enfant, qui voit ses efforts d’une année réduits à néant par quelques petits échecs; de plus, il perd de vue ses camarades et se retrouve avec des gens qui n’ont pas son âge. Je comprends très bien que le redoublement soit la « solution de dernier recours », un aveu d’échec absolu, en quelque sorte. C’est du moins le point de vue des pédagogues que j’ai côtoyé (quand je faisais de la recherche en pédagogie).

Une petite question d’ordre social:
Un élève québécois qui étudie en France aurait-il le choix entre ces deux options? Est-ce qu’on lui imposerait le redoublement?

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Ecrit par: nissart 7-05 à 10:17

Redoublement imposé dés la fin de l’année sans ratrapage possible durant l’été Zogu.
On peut prendre des cours d’été mais de toutes façons la decision de redoubler ou pas est deja prise.

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Ecrit par: isseo17 7-05 à 10:33

Non, Contrairement à ce que j’ai pu lire ici, le redoublement est rarissime en France aussi.

C’est pourquoi, Aurélien se trouve, à 12 ans, dans cette situation.

J’ai fait partie des parents délégués, assistant au conseils de classes, tant en primaire qu’au collège et j’ai donc une bonne expèrience à ce sujet!

Lorsque, exceptionnellement, un enfant est  » accepté » au redoublement, c’est présenté comme un véritable cadeau qu’on lui fait. On lui donne une deuxième chance parce qu’il est en difficulté mais travailleur, sérieux. D’autres petits copains , moins bons ou plus « indisciplinés » que lui ,peuvent être propulsés d’office dans la classe supèrieure, pour qu’ils  » n’emcombrent » pas le système ….

On a ainsi « offert » un deuxième CE 1 à mon deuxième fils, afin qu’il gallère moins par la suite. Mais Alexis a un problème un peu particulier, en marge de tout système scolaire, dont j’ai déjà parlé.

Toujours est-il, que j’étais contente, il y a un mois, que son enseignant Québecois me demande la permission « de pouvoir le garder une année de plus pour l’aider à confirmer se acquis et peut-être éviter la voie de garage qui pouvait lui être destinée. » La décision est dans les mains de la commission scolaire.

Mais présenté comme ça, je vous assure qu’Alexis c’est trouvé rassuré et finalement pas mécontent de resté dans du connu.

En cas de redoublement, la pilule sera amère pour Aurélien, mais la perspective de pouvoir avoir, enfin, une année un peu plus cool le rassure aussi.

Avoir la possibilité de passer, enfin, cette fameuse barre des éléves en difficultés peut être une bonne motivation pour accepter les déceptions liées à un redoublement.

Dans notre cas, les copains sont ,de toute façon de fraîche date, puisque nous venons d’arriver.

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Ecrit par: Zogu 7-05 à 10:40

Une petite question…
Il semble que les nouveaux arrivants se retrouvent parfois dans une classe d’élève plus vieux, parce que les systèmes scolaires ne sont pas « 100% compatibles ». Est-ce le cas pour votre fils?
Dans ce cas, le redoublement lui ferait retrouver une classe d’enfants qui ont son âge.

Je suis heureux de lire qu’en France aussi, il y a une certaine flexibilité face à l’échec scolaire. Cela me rassure. Après tout, il y a un monde de différence entre l’enfant qui échoue son année « de justesse »… et celui qui n’est pas mûr pour le niveau qu’on lui impose. Vivement qu’il arrive au Cégep, où il pourra vraiment fonctionner à SON rythme.

Et soit dit en passant, s’il préfère avancer à un rythme variable, il existe des écoles au niveau Secondaire, comme l’école George-Vanier à Laval, qui fonctionne par modules. Cela demande plus d’autonomie, mais permet une personnalisation du progrès scolaire.
www.cslaval.qc.ca/georgesvanier/
pages.globetrotter.net/fondat/ecole…

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Ecrit par: nissart 7-05 à 10:44

C’est vrai, j’ai été un peu vite en besogne, mais ça m’a l’air moins exceptionnel qu’au Qc, plus dans les moeurs quoi, même si pas systématique en cas de difficulté, on les laisse choir dans un environnement qui ne convient pas, mais il n’y a pas 36 solutions non plus , d’autant que les classes sont surchargées ainsi que les enseignants débordés.
Ca depend aussi du milieu scolaire, en effet dans une ZEP (zone education prioritaire) les difficultés sont pires, donc un peu de decouragement car pas tjs d’efforts du coté de l’éléve et des parents, d’où des minots qui arrivent en 5é sans savoir lire.

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Ecrit par: cherry 7-05 à 11:03

Le MEQ (Ministère de l’éducation), dans sa réforme de l’éducation, veut abolir complètement les possibilités de redoublement car il dit que cela a un impact sur l’estime de soi des élèves. Déjà implantée au primaire, la réforme sera appliquée au secondaire l’automne prochain. Or, derrière ses voeux pieux, le MEQ veut surtout économiser du fric. Là réside l’injustice faite à l’enfant.

Voici la lettre ouverte du président de l’Alliance des professeures et professeurs de Montréal, qui s’insurge contre le mythe de la « réussite totale »:

www.ledevoir.com/09/04/63044.h…

Un extrait:

Pour sa part, le gouvernement semble avoir fait son choix : au lieu de rehausser les exigences et d’investir dans les ressources de soutien pour permettre à tous les élèves de bénéficier des mêmes chances, on s’oriente vers une diminution des exigences pour faciliter la réussite. La récente politique d’évaluation des apprentissages, qui impose aux professeurs d’adapter les examens en fonction de la capacité des élèves, en est la preuve éloquente.

Comme la réussite scolaire est étroitement associée à l’origine socio-économique, ne risque-t-on pas de perpétuer les inégalités sociales à travers les inégalités scolaires ? Est-on en train de sacrifier les élèves en difficulté et défavorisés de la province et en particulier ceux de Montréal ? Nous devons collectivement nous y opposer et dire non.

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Ecrit par: Dariane 7-05 à 13:39

Hum parfois on se demande QUI prend les décisions au Ministère! P’tain ont-ils lu Bourdieu une fois dans leur vie??? C’est clair que les inégalités sociales se perpétuent par le système! Je dirais même que celui-ci renforce et conforte les inégalités et l’accès différentiel à la culture… Et apparement qu’avec nos belles réformes on arrange rien du tout!

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Ecrit par: cherry 7-05 à 14:13

Quatre petites semaines de cours pendant l’été sont-elles suffisantes pour permettre à un enfant de rattraper son retard et sauver son année scolaire? À moins que cela soit dans une matière précise, j’en doute. On tourne nécessairement les coins ronds parce que l’on veut à tout prix que l’enfant ne redouble pas. C’est du nivellement par le bas et l’enfant, à moyen terme, en sortira perdant… et son estime de soi en prendra pour son rhume. Ironique quand on sait que l’estime de soi est l’argument du MEQ pour abolir le redoublement… Quant aux élèves qui eux, sont rendus plus loin, ils seront nécessairement ralentis par les difficultés d’apprentissage de leurs camarades.

Les professeurs se battent présentement pour avoir plus de moyens, plus de personnel et moins d’élèves par classe. Ils sont débordés, essouflés, et se plaignent du fait qu’il est difficile de gérer non seulement des classes de plus en plus « populeuses », mais des classes où les élèves doués côtoient des élèves qui ont de sérieuses difficultés d’apprentissage.

Attention, je ne dis pas qu’il faut faire redoubler tous les élèves dès qu’un pépin survient! Ce que je n’aime pas dans l’approche du MEQ, c’est que plutôt que de faire du cas par cas, d’avoir une approche personnalisée, j’ai plus l’impression que la directive donnée est: « Arrangez-vous pour qu’il n’y ait pas de redoublement, quitte à ce que certains enfants se retrouvent dans des classes où ils n’ont pas leur place. Ils vont finir par s’ajuster, mais il ne FAUT PAS qu’ils redoublent ». L’approche est biaisée, il y a déjà un parti-pris.

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Ecrit par: Zogu 7-05 à 17:43

Je trouve que tu généralises beaucoup, là. Justement, est-ce que ça arrive si souvent que ça qu’un enfant ait — disons — une note de 30% (échec lamentable) dans l’ensemble de ses cours? Une situation plus réelle est celle d’un enfant qui a des notes dans les 60% et un échec en maths, par exemple. Ou encore, celui dont les moyennes oscillent dans les 55%-60%.

Les cours d’été sont bénéfiques dans le cas où l’enfant n’a pas échoué de beaucoup (moyenne près de la note de passage) ou encore, s’il n’a échoué que dans 1 ou 2 matières.

Dans certains cas, ce sont les maths seulement qui ont été mal comprises; pourquoi lui redonner L’INTÉGRALE des cours de son année? Un cours de maths bien appuyé et ça y est. Dans d’autres cas, l’enfant est proche de la note de passage et le faire redoubler serait une profonde injustice, puisqu’il n’a peut-être besoin que d’un peu de rattrappage.

Il faut bien pondérer les effets du rectificatifs qu’on propose: va-t-il lui donner un coup de pouce, ou bien l’envoyer à la traîne? Va-t-on éteindre un feu, temporairement, et le voir échouer à nouveau l’année suivante?

Dans le cas d’un échec « retentissant », il est clair que le redoublement sera de mise — mais associé à un suivi pédagogique, car sinon on se contente de pénaliser l’enfant sans lui offrir de soutien. Les causes d’un échec scolaire sont multiples et variables.

Le redoublement est probalement inutile dans le cas où l’enfant a des problèmes de dyslexie, de comportement ou de concentration. Lui faire repasser les mêmes cours deux, trois fois ne règlera rien. Car le problème n’est pas au niveau de la compréhension de la matière, il doit se corriger « par la bande ».

Ni le redoublement ni les cours d’été ne sont des solutions universelles.
Pour avoir fait de la recherche en pédagogie, je peux te dire que notre panoplie de solutions à l’apprentissage devrait être la plus flexible possible. On devrait investir plus (et non moins!) en orthopédagogie et dans le suivi scolaire… au lieu de choisir des solutions toutes faites du genre « tu passes ton tour! » ou « on te pousse vers le haut même si t’as pas la moyenne ».

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Ecrit par: cherry 7-05 à 20:44

En fait, dans le cas du fils d’isseo17, c’est deux cours – anglais et math – en deux petites semaines…!!! Le petit va sûrement s’en sortir et passer de justesse son année: le bourrage de crâne, n’importe qui peut le faire. Mais aura-t-il vraiment assimilé les matières? That’s the question…

Je comprends que l’on veuille éviter à un enfant de reprendre TOUS ses cours, TOUTE son année. Or, dans le cas qui nous occupe, isseo17 dit que son fils a « toujours été un élève moyen-moins, qui démarre donc chaque année avec un peu plus de lacunes, qu’il a de plus en plus de mal à combler ». Et tu crois que deux misérables semaines vont réussir inverser la vapeur? Pourquoi ne pas assumer qu’il n’est pas prêt et lui répéter les enseignements, quitte à ce qu’il devienne calé dans certaines matières? Il a beaucoup plus de chance d’intégrer le tout, non? Et son estime de soi sera meilleure.

Les parents et l’enfant ont leur mot à dire. Si les parents et l’enfant veulent un redoublement, on ne devrait pas leur refuser, quoi qu’en dise le MEQ. Des plans pour que l’enfant décroche vraiment et soit irrécupérable.

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Ecrit par: isseo17 7-05 à 22:14

Je suis heureuse de constater que mes idées ne sont pas seulement franco-française.

Merci Cherry pour ce soutien purement québécois.

Et surtout, merci à tous pour vos arguments (pour ou contre) qui font murîr notre réfléxion familiale!

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Ecrit par: jasmin2006 8-05 à 6:38

hello Isseo
En faite il n’y a pas d’ idée pour ou contre personne d’autre que vous ( les parents*** avec Aurélien ) ne peut savoir ce qu’il y a de meilleur pour lui ,
Refaire L’année n’est en fait pas catastrophique ne pas la gacher n’est pas une priorité. Il faut que vous choisiez avec les professionnels concernés la meilleur solution qui conviénne à Aurélien.

Restez heureux contre vents et marrais ( malgrès ces perturbations scolaires)
alors isseo j’attends que tu dénous ce problème, depuis que je suis sur ce Forum tes méssages me donne toujours de l’espoir.
( en fait isseo j’ai commencée avec Imad en [COLOR=red]pedopsychiatrie chez nous en Algérie à 6 ans , Et cela suite à une visite médicale scolaire l’enseignante s’était plein de sa difficulté à parler , il parlai peu )
je ne vous dis pas la galère d’emmener son enfant à l’hopital psychiatrique pendant six mois 2f/semaines .
Diagnostic final timidité avec potentiel plus que la normal pour le raisonnement.
il a eu 12ans le 03/30 2005 il est en 7 année ( 6eme)
il justie une moyenne de 13/20 (65/100) avec 16 à 17/20 en maths
mais les langues ce n’est son dada.) Bref j’attend qu’il grandisse avec le maximum d’atouts et le minimum de dégats. Cette opimisation je suis convaincu que toute mére y aspire comme nous deux;
cao isseo
yasmina

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