Marché Jean Talon
Ecrit par: parati 24-09 à 12:37
Bonjour tout le monde,
Je suis donc allée faire un petit tour sur le marché.
J’ai étais surprise par la grosseur de certains légumes, la variété de piments déclinés dans pratiquement toutes leurs familles (poivrons, les petits qui arrachent….), les tomates (roses).
Et j’ai adoré les choux fleurs mauves et orangés, je n’ai pas pu résister et j’en ai acheté un orangé (je vous dirai dimanche quel goût il a) mais je trouve déjà génial de faire un gratin de choux fleur orangé (3 CAN le choux fleur orangé).
La semaine prochaine je m’attaque au mauve parait-il plus sucré que le blanc.
2 livres de pommes de terre blanche (soit 950g, je crois) pour 1 CAN, les carottes à 1,5 CAN, un beau brocoli pour 1,5 CAN
Donc en résumé de beaux légumes et pas trop chers.
Il y avait pleins de pommes, il parait même qu’il y a une variété qui a le goût de raisin, l’odeur est parait-elle un peu chimique mais au goût c’est génial.
Si je la trouve je vais en acheter quelques unes pour goûter.
Et aussi j’ai vu des baies rouges donc je ne me souviens plus du nom avec lesquelles on fait de la gelée, des sauces et aussi du jus rouge (j’ai gouté le jus très désaltérant et pas désagéable du tout).
Et les fruits exotiques, j’ai vue des papayes énormes de Belize.
J’ai adoré la présentation dans les paniers.
Bref à voir aboslument.
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Ecrit par: ben17 24-09 à 14:45
Juste pour info voila un copier/coller d’un article que j’ai fais sur ce sujet. en esperant que ca vous intersse
LES MARCHÉS PUBLICS
Depuis l’Antiquité, les marchés publics dans les villes sont plus que de simples espaces commerciaux, ils ont dessiné le tissu urbain en tant que lieux publics et représentent un aspect privilégié de la vie citadine. Ils sont le ventre de la ville et attirent encore aujourd’hui une foule qui vient au-delà de loin pour s’y approvisionner en fruits et légumes.
Au XIXèm et XXèm siècle, le marché était une institution d’utilité publique qui relevait principalement des autorités municipales. Ce sont les villes qui se chargèrent de créer et de réglementer les places de marché et de faire ériger les halles. On cherchait alors à établir des lieux d’échanges agro-économiques entre la ville et la campagne. Tout en favorisant un approvisionnement régulier des villes, on développait les contacts directs entre les populations paysannes et citadines, par exemple au marché Bonsecours entre les agriculteurs de Longueuil et les Montréalais.
Jean-Talon, Atwater et Maisonneuve sont les trois places du marché importantes de Montréal. Une promenade au Marché Jean-Talon, le plus achalandé des trois, est une fête pour les sens et une riche expérience culturelle. Les arcades qui protègent les étals des intempéries et les rues avoisinantes reflètent la multiethnicité de la clientèle. L’infrastructure du marché reflète son importance et est actuellement en cours d’agrandissement. Le Marché Atwater, dont le bâtiment fut construit en 1933, fut le plus luxueux du genre à l’époque. Avec la réouverture récente du canal de Lachine et la piste cyclable qui le longe il redevient le lieu de rencontre et d’animation qu’il était autrefois. La place du Marché Maisonneuve est également plus qu’un lieu où faire ses emplettes. L’ancien édifice du marché, qui domine toujours la place, accueille aujourd’hui des groupes communautaires. L’édifice de pierre grise de style Beaux-Arts rappelle l’histoire de ce secteur de la ville, tout comme l’imposante sculpture-fontaine de six mètres de haut d’Alfred Laliberté intitulée La Fermière. Réalisée en 1915, elle a été entièrement restaurée en 1995.
D’abord créés pour desservir les habitants de leur quartier, les marchés sont toujours des lieux de d’échange et de découverte des saveurs d’hier et d’aujourd’hui.
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