De Laurent
« TIC: la pénurie de main-d’œuvre fait mal
22 décembre 2011 | 11h35
Argent
Les entreprises spécialisées en technologies de l’information et des communications font face à une pénurie de main-d’œuvre telle qu’elle fait obstacle à leur croissance.
Les entreprises spécialisées en technologies de l’information et des communications font face à une pénurie de main-d’œuvre telle qu’elle fait obstacle à leur croissance.
Selon Nicole Martel, pdg de l’Association québécoise des technologies (AQT), les entrepreneurs ont tellement de la difficulté à combler leur poste qu’ils doivent avoir recours à l’immigration.
«Des entreprises qui ne comptent qu’une quinzaine d’employés font des démarches pour intéresser des travailleurs étrangers spécialisés en informatique. Les besoins sont là», a-t-elle soutenu sur les ondes de la chaîne Argent, jeudi.
Malgré tout, les employeurs en TIC se font optimistes quant à leurs affaires. Selon un sondage réalisé par l’AQT, 87% des entrepreneurs estiment que les revenus seront en croissance cette année par rapport à l’an dernier et aux années précédentes.
Comme dans d’autres secteurs, l’industrie des TIC vit aussi un phénomène de consolidation.
Les entreprises font des acquisitions principalement pour diversifier leur marché, en acquérant des technologies développées par de plus petites entreprises, ou encore, justement, pour combler un besoin en main-d’œuvre de qualité. »
http://argent.canoe.ca/lca/affaires/quebec/archives/2011/12/20111222-113531.html
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De RouiLLa
Tout bon pour moi ça ! 🙂
Merci Laurent !
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De Lilive
Il semblerait en effet que le marché soit très tendu.
D’après quelques échos de mes connaissances sur place, le marché de l’emploi dans les TIC est un marché d’employés et non d’employeurs… Cela peut-être tout bon
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De Sacoflab
Un phénomène qui amplifie la pénurie : les employeurs québecois rechignent à embauche un débutant ou même un junior avec 1 ou 2 ans d’expérience. Alors que le poste à pourvoir ne nécessite pas forcément d’avoir un expert avec + de 5 ans d’exp ! donc à l’heure actuelle on se retrouve avec un marché où les jeunes diplomés ont toutes les peines du monde à trouver un job, et des employeurs qui cherchent des montons à 5 pattes.
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De Lilive
Il y a une boucle comme dirait l’autre
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De Automne
c’est tellement rare que l’employeur de mon mari offre aux employés 2000$ s’ils réfèrent une connaissance.. sauf que les connaissances ont déjà un emploi.
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