Le premier ministre du Québec répète qu’il ne compte pas seulement sur l’immigration pour régler la pénurie de main d’oeuvre. Actuellement, c’est au Québec que cette pénurie est la plus forte au Canada avec plus de 5% des postes vacants. Ce phénomène, déjà présent avant son arrivée au pouvoir, s’est aggravé et menace plus que jamais l’économie de la belle province. On compte maintenant 181 030 postes vacants, soit une augmentation de 41% depuis le début de la pandémie.
Le gouvernement de François Legault a été à l’origine de la réduction du nombre de nouveaux arrivants au Québec. Depuis son élection, des réformes ont conduit à une diminution de plusieurs milliers d’immigrants reçus au Québec chaque année. Un an après sont arrivée, le solde migratoire était le plus faible depuis 2003 avec seulement 34 195 immigrants, il est maintenant tombé à 23 601 immigrants, soit presque la moitié de ce qu’il était avant l’arrivée de la CAQ au pouvoir.
À plusieurs reprises, le premier ministre s’est dit opposé à un accroissement de l’immigration, faisant valoir entre autre, le salaire moyen trop faible du Québec, et en émettant des doutes sur la capacité du Québec à intégrer ses nouveaux arrivants.
Cependant, lorsque M. Legault écrit que la CAQ pense que le Québec a atteint sa capacité d’intégration, il ne donne aucun élément probant pour appuyer cette opinion, ce qui frustre les partis d’opposition et le monde des affaires.
Aussi, il est difficile de comprendre sur quel taux d’immigration se base le premier ministre pour dire qu’il ne veut pas l’augmenter, car à plusieurs reprises, ses ministres ont affirmé vouloir augmenter les seuils d’immigration.
D’après le bureau du premier ministre, le message de François Legault prend en compte l’ajustement qui devrait être annoncé dans les prochains mois. Et cet ajustement prévoit déjà une hausse des seuils d’immigration.
Mais finalement le couperet est tombé lundi vers midi, Nadine Girault, ministre de l’Immigration, de la Francisation et de l’Intégration a déclaré, devant la Chambre de commerce du Montréal métropolitain (CCMM), qu’elle rejetait l’idée d’accueillir annuellement 60 000 immigrants permanents au Québec comme prévu.
Le gouvernement revient donc sur sa décision de rattraper le retard accumulé et décide de ne pas augmenter les seuils d’immigration, alors que cette mesure avait été annoncée à maintes reprises.
Samia à parfaitement raison, PAS DIMMIGRATION MASSIVE ! , il faut viser la qualité, pas la quantité. Augmenter les salaires des jobs en pénurie, mais surtout AMÉLIORER LES CONDITIONS DE TRAVAIL,LE CONFORT DE TRAVAIL DES JOBS PÉNIBLES les jeunes québécois ne veulent plus travailler , se bousiller la santé comme leurs parents on est plus en 1900 , et ILS ONT RAISON ! ,
Merci Rabah,
On s’est bien compris.
Il y a des gens honorables qui, sans renier leur culture, s’intègrent, participent et valorisent le pays qui les accueille. Ils ont l’intelligence de leur démarche, le respect des autres et de la bienveillance dans le cœur. Ce fut le cas de mes parents et de bien d’autres.
C’est à ces personnes qu’il faut donner leur chance..
Par une immigration de qualité, j’entends une qualité de cœur et d’esprit.
Ces gens apportent une véritable plus value à la nation qui les accueille, contrairement à une immigration de masse non maîtrisée, qui aura à court terme un effet délétère sur le pays.
Tu as parfaitement raison concernant les emplois qui ne trouvent pas preneurs : valoriser ces postes, augmenter les salaires et améliorer les conditions de travail, faciliterait les embauches..
Les personnes qui veulent une immigration massive pour combler les postes vacants et faire tourner l’économie du pays, ça ne les dérange pas que ce soit les immigrés qui occupent ces postes mal payés avec des conditions de travail difficiles !
Et après, ce sont ces mêmes gens qui vont crier au scandale et au racisme.
Bon, espérons quand même en un avenir meilleur pour tout le monde..
Je te fais un coucou de Paris et Amour et Paix au Québec que j’adore.
Ce sont juste des paroles, d’autant plus des paroles du PM du Québec, pas des autres provinces et encore moins du PM du Canada. Au final, c’est pas les paroles qui m’intéresse, ce sont les faits et les faits eux sont évidents. Le Québec ne veut pas d’immigration, c’est pas très grave, Ontario est la prochaine destination pour les francophones. De toute manière, ils vont se rendre compte de deux choses.
1/ La pénurie va augmenter et les entreprises vont faire pression sur le gouvernement. Parce qu’il faut le reconnaître, les campagnes électorales coûtent cheres et qui les financent ? Ce sont les entreprises et les lobbys industriels qui décident des politiques d’immigration tout comme des autres projets de lois d’ailleurs
2/ Il va s’en suivre une crise géopolitique. Le Québec va s’affaiblir politiquement et économiquement ce qui amènera à une unification avec le reste du Canada, chose que le Quebec a longtemps refusé. Mais on ne lui demandera pas son avis et son héritage francophone disparaîtra. Mais quoiqu’il en soit, la politique d’immigration est décidée à Ontario, pas au Québec
L’immigration de masse n’est pas la solution.
Regardez la France, c’est un vrai laboratoire d’apprentissage !
Par pitié, ne reproduisez pas la même chose.
Pour satisfaire le patronat : des immigrés en masse embauchés et sous payés, ce qui donne les salaires du pays tirés vers le bas.
De toutes façons ça ne résoudra rien : il y aura toujours des postes vacants et des chômeurs en nombre. C’est le cas en France.
Il se crée au fur et à mesure un communautarisme grandissant délétère. Plus le nombre d’immigrés est grand, moins il y a d’intégration et je ne parle même pas d’assimilation.
Ça génère des tensions, de l’insécurité et des actes barbares.
Et je ne vous parle pas du niveau scolaire qui s’effondre.. on avait un niveau scolaire d’excellence, nous sommes maintenant parmi les derniers. Le baccalauréat est donné chez nous, il ne vaut plus rien.
Bref je ne vais pas en faire la liste, mais les méfaits sont nombreux.
La France est maintenant un pays en décomposition. Son histoire est reniée et méprisée, sa culture attaquée et ses églises brûlent.
Dans les grandes villes ça fait longtemps que c’est sale, que la drogue est en vente visible et qu’on subit des agressions quotidiennes, mais maintenant ça s’instaure jusque dans les villages.
Une immigration restreinte, choisie et de qualité, ça donne des personnes et des familles intégrées qui sont heureuses de vivre dans un pays qu’ils aiment.
C’est ça qui fait ensuite la force d’une nation.
La France, généreusement, a ouvert en grand ses portes et n’a émis aucune restriction. Résultat : il y a maintenant une grande part de la population qui revendique détester la France, lui crache dessus, siffle la marseillaise, la saccage et affirme la remplacer et la coloniser.
Ils font même allégeance à leur pays d’origine ou au pays de leurs parents.
Bien-sûr certains immigrés ne sont pas dans ce cas là, mais le mal est quand même là.
Un projet d’immigration intelligent et bien pensé n’est pas synonyme de racisme, bien au contraire !
Ne vous méprenez pas, je ne suis ni fasho, ni raciste. Je suis une française musulmane d’origine algérienne.
Mais une chose est sûre : J’AIME mon pays qu’est LA FRANCE. Je suis juste en colère et triste de voir, impuissante, ce qu’elle est devenue.
Mon Diu le constat que tu dresses est vraiment une analyse de surface extrêmement basique, il met en lumière ta profonde méconnaissance de l’histoire de France… Sans même parler d’économie et de géopolitique…
Article biaisé. Il ne dit pas que c’est le gouvernement de Justin Trudeau qui a ralenti volontairement les demandes d’immigration provenant de travailleurs qualifiés sélectionnés par le Québec.
Ce n’est pas le gouvernement de François Legault, tel qu’on le fait croire quand on lit l’article
Le PM a raison,l’immigration massive n’est pas la solution mais éventuellement un gros problème ( ex; France,UK, etc…)Il faut mettre les québécois au travail.Il n’est pas normal aujourd’hui de voir partir à la retraite des employés du secteur public à 50 ou 55 ans et d’avoir un taux d’activité inférieur aux US mais aussi aux autres provinces.Nos programmes sociaux sont trop généreux et dissuasifs face a l’effort et au travail.Imposer les heures supplémentaires est également une erreur .Bref il existe de dizaines de mesure s pour augment l’offre de travail des québécois.On décourage le travail par une fiscalité abusive et d’un autre côté on veut augmenter les travailleurs immigrés.Malheureusement au Québec ceux sont les syndicats qui mènent et le PM ne pourra rien modifier.
Particulier que le Premier Ministre est incapable de mentionner sur quoi il compte s’appuyer pour palier à la pénurie de main d’oeuvre autre que l’immigration. Au Québec, le processus et les délais sont beaucoup plus lourds que dans toutes les autres provinces canadiennes. Rien pour faciliter l’arrivée et l’intérêt du potentiel d’immigrants. Plusieurs secteurs dont principalement le secteur manufacturier a un besoin crucial de main d’oeuvre. Où nos entreprises devront-elles s’adresser pour combler ce besoin criant ? Est-ce que notre gouvernement peut répondre à ceux-ci ? Ces personnes contribuent à l’économie en augmentant les ventes des entreprises et contribuant aux charges fiscales du Gouvernement.