Les années de crise de logement avec des taux d’inoccupation de 1%, comme dans les années 2000, sont bien dernière nous. En effet, il est beaucoup plus facile ces dernières années de se trouver un logement dans la Belle province. Et les données de la SCHL (Société canadienne d’hypothèques et de logement) des deniers mois sont encore plus rassurants pour les locataires avec par exemple des taux d’inoccupation passant de 4% à 4,9% dans la ville de Québec.
Présentement, la moyenne pour la province est de 4,4% et de 3,9% à Montréal.
En dehors de Montréal et de la ville de Québec, il est parfois encore plus facile de se trouver un appartement. En effet, les taux d’inoccupation sont de 5,8% à 6,4% à Sherbrooke et de 5,9% à 6,3% à Ottawa-Gatineau.
Selon Kevin Hughes, économiste régional à la SCHL, « en 2016, la croissance du bilan migratoire aurait suffi pour absorber la croissance de l’offre. Par conséquent, le taux d’inoccupation est demeuré stable ».
Généralement, on admet qu’un seuil d’équilibre du marché de la location tourne autour de 3%.
Source: La Presse, SCHL
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