De veniziano
J’ai appris beaucoup de choses, sur moi et sur le pays bien évidemment et j’en ai beaucoup plus à apprendre.
– D’un côté que je suis chanceux, je l’étaits souvent avant d’immigrer et cela continue.
– Que je suis plus aisé côté adaptablilité que je le croyais.
– Que le monde ici est beaucoup plus individualiste que je le croyais.
– Que l’hiver et le grand froid me dérange pas tant que ça que je le croyais
– Que le temps passe plus vite ici par rapport à mon impression de la chose avant mon immigration
– Que la réussite ou l’échou tiennent en grande partie à moi
– Que le pays d’origine ne me manque pas tant que ça que je le croyais.
– Que pour réussir sa nouvelle vie et la vivre pleinement, va falloir faire le deuil de sa vie antérieure, ne serait ce que pour ses expériences professionnelles.
– Apprendre les simples détails de la vie ne m’a pas dérangé, c’est quelque chose de bien et de noble, même à l’âge de quarante ans.
– J’essaie souvent d’adapter ma vitesse de vie au quotidien. Pour moi c’est plus inéressant d’y aller vite quand la chose le demande et ralentir la cadence dans les moments qui nécessite d’apprécier les choses ou qu’il n’y aurait aucun bénéfice d’y aller vite.
– Finalement, ce qui me paraissaient comme les pires difficultés à rencontrer une fois immigré tels que la solitude, l’éloignement de la famille, le grand froid, les hivers longs et rigoureux, l’accès au marché du travail, reconstruire ma vie à un age plus ou moins avancé …etc, ce n’étaient pas forcément des obstacles insurmontables pour mon cas, par contre ce qui m’a surtout gêné est que la plus part du temps où l’on te sourit, est que l’on est surtout payé pour le faire.
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