Re : A LAURENT LE BELFORTAIN !

Bonjour,

Ca fait toujours plaisir d’avoir des nouvelles de sa région natale.
À vrai dire je n’ai jamais mis les pieds aux Eurockéennes, mais qui sait, peut-être un jour.

Mon expérience personnelle a déjà été longuement exposée sur ce site, mais il y a quelques petites nuances entre nos 2 profils.
J’ai vécu plusieurs années à Paris avant de partir pour Montréal, et je suis souvent revenu en France les 2 premières années.

Pour répondre à ta question, si c’était à refaire, je n’hésiterais pas une seconde, et je ne tiens pas à faire l’énumération des « POUR » car on n’immigre pas comme on fait son marché. C’est un choix de vie que l’on porte en soi ou pas, comme une piqure qui nous démange.
Personnellement, je ne me suis jamais posé de questions sur le pour ou le contre, je voulais le faire, car, comme tu le dis, Montréal m’appelait, je m’y sentais chez moi.

Aussi, je tiens à distinguer un choix d’immigration avec un choix d’expatriation, car ce sont 2 démarches diamétralement opposées.
Je suis arrivé ici comme « immigré », cherchant à m’intégrer dans cette nouvelle culture. Je n’ai jamais cherché à changer les choses ici, je me suis adapté et aujourd’hui je me considère comme Canadien d’adoption.

Une personne qui se considère comme « Expatrié » va chercher à retrouver sa culture loin de son pays natal, c’est plus par besoin qu’elle débarque ailleurs et elle va souvent revenir dans son pays si cela lui est possible.

Comme dirait le docteur Ruth, « Tout se passe dans la tête ».

Bye,

De Laurent

Re : A LAURENT LE BELFORTAIN !

Bonjour,

Ca fait toujours plaisir d’avoir des nouvelles de sa région natale.
À vrai dire je n’ai jamais mis les pieds aux Eurockéennes, mais qui sait, peut-être un jour.

Mon expérience personnelle a déjà été longuement exposée sur ce site, mais il y a quelques petites nuances entre nos 2 profils.
J’ai vécu plusieurs années à Paris avant de partir pour Montréal, et je suis souvent revenu en France les 2 premières années.

Pour répondre à ta question, si c’était à refaire, je n’hésiterais pas une seconde, et je ne tiens pas à faire l’énumération des « POUR » car on n’immigre pas comme on fait son marché. C’est un choix de vie que l’on porte en soi ou pas, comme une piqure qui nous démange.
Personnellement, je ne me suis jamais posé de questions sur le pour ou le contre, je voulais le faire, car, comme tu le dis, Montréal m’appelait, je m’y sentais chez moi.

Aussi, je tiens à distinguer un choix d’immigration avec un choix d’expatriation, car ce sont 2 démarches diamétralement opposées.
Je suis arrivé ici comme « immigré », cherchant à m’intégrer dans cette nouvelle culture. Je n’ai jamais cherché à changer les choses ici, je me suis adapté et aujourd’hui je me considère comme Canadien d’adoption.

Une personne qui se considère comme « Expatrié » va chercher à retrouver sa culture loin de son pays natal, c’est plus par besoin qu’elle débarque ailleurs et elle va souvent revenir dans son pays si cela lui est possible.

Comme dirait le docteur Ruth, « Tout se passe dans la tête ».

Bye,