Le Québec, Il a ce je n'sais quoi…Une révolution plus tard, que s’est-il donc passé dans nos vies.
Beaucoup de bonnes choses et beaucoup de découvertes.
Je ne pourrais en parler sans entrer dans des détails qui deviendraient inévitablement superflus.
Je focaliserai dans ce billet sur le côté professionnel.Me concernant,
Mi – mai 2012, je décroche un job assez stable et plaisant dans une entreprise Montréalaise spécialisée dans la formulation et la commercialisation de produits chimiques.
Ce résultat a été obtenu grâce à deux facteurs.
Le premier est en corrélation avec mon profil et vient du fait d’avoir suivi des études dans le domaine de la pétrochimie.
C’est certain, mais cela n’aurait pas suffit…
Ce résultat est aussi et surtout du au fait d’avoir élargi mon horizon et m’être fait de nouveaux amis ici au Québec.
Le poste décroché est issu beaucoup plus d’un réseautage efficace que d’ un CV bien ficelé.
Je crois qu’on l’a assez dit, et c’est un fait vraiment concret et palpable : près de 85 % des offres d’emploi sont cachées et les recrutements se font dans ces cas en interne.
Ayant été référé, l’entrevue, formelle, a été assez expéditive et j’exerçais deux jours plus tard.
Je reste cependant convaincu que la meilleure des intégrations, celle offrant des perspectives d’évolution certaines, et une certaine assurance d’emploi, ne peut passer que par l’obtention d’un diplôme Québécois.
Qu’arriverait – il si, après quelques mois , cette entreprise venait à fermer ?
Je ne suis pas fataliste, mais plutôt prudent.
L’industrie pétrochimique n’est pas à son plus haut. J’en veux pour exemple la fermeture de Shell il y a quelques années.
Il y a pour moi des priorités et des objectifs préalablement fixés.
Ils sont relatés dans des billets précédents.
Ces objectifs peuvent différer d’un individu à l’autre, je le conçois.
J’ai pour ma part établi ma feuille de route…
J’ai donc repris il y a un peu plus d’un mois le chemin des études.
Et suite à la surcharge engendrée, ne pouvant concilier les deux, la balance a penché du côté que vous devinez et j’ai fini par renoncer, résolument mais non sans un petit pincement au cœur, à mon emploi.
Je vais donc aujourd’hui , de TP (s) en examens, ce qui fait bien rire ma petite fille qui demande à voir mes bulletins et promet de me punir si mes résultats ne sont pas bons…
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